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Balance

23 SEPTEMBRE - 22 OCTOBRE

Amour : Vous ne laisserez pas indifférente une personne qui travaille près de vous, ou avec laquelle vous êtes en relation d'affaires. Vous devrez faire preuve d'imagination pour donner à votre vie de couple plus de saveur et d'enchantement. Célibataire, la discrétion sera nécessaire…

Travail-Argent : Vos avancées professionnelles sont incontestables, mais un peu de modestie serait souhaitable. Attention, vous avez tendance à écouter les ragots et vous finirez par les colporter !

Santé : Et si vous commenciez véritablement un régime ? Pensez à protéger votre peau, hydratez-la.

30 january
Illustrations de Jo Ratcliffe
  • Vert, noir, blanc ou matcha : à la découverte des différents thés

    Chaque thé possède son arôme, sa couleur et ses bienfaits. Plongez dans le royaume de l'infusion. Voir la suite sur ELLE.fr A lire aussi Noir, vert, blanc ou oolong : quel thé contient le plus de théine ?

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    L'ancien Premier ministre a souffert d'une alopécie qui a blanchi ses cheveux et sa barbe avant de lui faire perdre sa pilosité. Il revient sur cet épisode "tout sauf neutre".

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    La finale de la "Star Academy", le 25 janvier, opposera deux candidates, Ebony et Marine, après l'élimination, ce samedi, de Franck.

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  • La pandémie? Cinq ans après, Wuhan a tourné la page

    Construit en 10 jours au début de la pandémie et symbole de la mobilisation chinoise anti-Covid, l'hôpital en préfabriqué de Wuhan est désormais à l'abandon: cinq ans après, habitants et autorités sont passés à autre chose.Caché derrière des palissades, l'hôpital Huoshenshan aujourd'hui désaffecté avait été édifié par des milliers d'ouvriers, dans cette métropole du centre de la Chine où le virus avait été détecté pour la première fois.Le 23 janvier 2020, face à la propagation d'unvirusalors inconnu, les autorités de Wuhan avaient décrété le confinement total de la ville - qui allait durer au total 76 jours.C'était le coup d'envoi en Chine d'une stricte politique sanitaire de contrôle des déplacements, de quarantaines obligatoires puis de tests, qui préfiguraient les bouleversements mondiaux à venir.Aujourd'hui, les quartiers commerçants animés et les embouteillages de la ville semblent à des années-lumière des rues totalement désertes et des hôpitaux bondés, symboliques du premier confinement anti-Covid de la planète."Les gens vont de l'avant. Ces souvenirs sont de plus en plus flous", déclare à l'AFP Jack He, un étudiant de 20 ans qui habite à Wuhan.Lycéen lors du confinement, il avait passé une grande partie de son année scolaire à suivre des cours en ligne à la maison."On a toujours l'impression que ces années ont vraiment été difficiles (...) Mais une nouvelle vie a commencé", souligne-t-il, à quelques jours du cinquième anniversaire du confinement.Sur le site qui accueillait le marché Huanan, où les scientifiques estiment que le virus a pu passer des animaux aux humains, un mur bleu clair a été édifié pour cacher les étals désormais désaffectés.- Journalistes suivis -Lors du passage de journalistes de l'AFP, des ouvriers installaient des décorations pour le Nouvel An chinois sur les fenêtres du deuxième étage du marché, où se trouvent encore des boutiques d'opticiens.Aucun signe ne vient rappeler l'importance de l'endroit.En vérité, la ville ne compte pas vraiment de lieu d'hommage aux victimes de la pandémie.Les commémorations officielles du confinement mettent l'accent sur l'héroïsme des médecins et l'efficacité des mesures contre l'épidémie. En dépit des critiques, souvent entendues à l'international, sur la dissimulation par les autorités des premiers cas, en décembre 2019.Les anciens étals du marché ont été déplacés dans une nouvelle zone située hors du centre-ville. Mais la pandémie reste un sujet sensible. Une dizaine de vendeurs de ce "nouveau marché de Huanan", comme il est appelé, refusent ainsi d'en parler.Le propriétaire d'un stand déclare toutefois, sous couvert d'anonymat, que "les affaires ne sont plus aussi bonnes qu'avant".Un autre explique que les gestionnaires du marché ont envoyé sur un groupe de discussion en ligne, réunissant notamment les vendeurs, des images de caméras de surveillance montrant des journalistes de l'AFP, et appelant à ne pas accepter leurs demandes d'interview.Au moins une voiture a suivi les reporters de l'AFP durant leur séjour à Wuhan.- "Héros" -L'un des rares lieux de commémoration publique du confinement se trouve à côté de l'ex-hôpital de Huoshenshan: une station-service qui sert également de "base d'éducation à la lutte contre l'épidémie de Covid-19".L'un des murs affiche une chronologie du confinement, avec des photographies décolorées du président Xi Jinping, qui avait visité Wuhan en mars 2020.Un employé indique à l'AFP qu'un petit bâtiment situé derrière la supérette de l'établissement abritait une autre exposition, mais qu'elle n'ouvre désormais que "lorsque les dirigeants viennent la visiter".La ville a, c'est vrai, déjà retrouvé depuis longtemps l'effervescence de l'avant-Covid.Le matin, les habitants se pressent sur le marché animé de la rue Shanhaiguan, spécialisé dans les petits déjeuners, où ils viennent déguster nouilles ou beignets.Dans la rue commerçante huppée de Chuhe Hanjie, les gens viennent promener leurs chiens et les jeunes sont habillés à la dernière mode, tandis que d'autres patientent pour commander des thés au lait branchés.Une habitante de 40 ans, Chen Ziyi, estime que la notoriété acquise par la ville durant la pandémie a eu un effet finalement plutôt positif, entraînant un afflux de touristes."Tout le monde s'intéresse davantage à Wuhan désormais", déclare-t-elle. "Ils disent que Wuhan, c'est la ville des héros."tjx/reb/dhw/ehl/gmo/sba

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    L'IA a le vent en poupe, et ce n'est pas près de s'arrêter ! Dernière nouveauté en date, cette étude inquiétante selon laquelle...

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    Nombreux sont les soins et astuces pour détoxifier notre corps. Et si cela passait par les pieds grâce à de simples patchs ? On fait le point sur cette tendance venue d’Asie.

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    Retour sur 10 films qui ont fait sa carrière de l'acteur Gaspard Ulliel, décédé il y a trois ans.Voir la suite sur ELLE.fr A lire aussi Gäelle Pietri : « Je devais protéger la mémoire de Gaspard Ulliel » Niels Schneider : « Je continue de parler de Gaspard Ulliel au présent » César 2022 : Xavier Dolan, en larmes, rend hommage à Gaspard Ulliel Gaspard Ulliel : où verra-t-on l'acteur pour la dernière fois à l'écran ? Consultez votre horoscope sur ELLE

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    Les promesses de Donald Trump de développer l’extraction de pétrole et de gaz de schiste, pour soutenir le secteur énergétique et créer des emplois, ont joué un rôle clé dans la bataille pour la Pennsylvanie lors de la présidentielle américaine de 2024. Dans la communauté rurale de Dimock, les forages ont durablement contaminé les nappes phréatiques, bouleversant la vie de la commune. Le président-élu y demeure néanmoins très populaire. Une double ligne jaune trace le sillage de la route 29, par

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    Bien digérer son dîner tout en créant du lien social ? Cette habitude venue d’Italie a de nombreuses qualités.

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  • Retailleau et Darmanin, colocataires envers et contre tout

    LA CHRONIQUE POLITIQUE. Tous deux issus de LR, les duettistes du pôle police-justice n’ont pas la même conception de la politique, mais sont condamnés à s’entendre.

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  • Gaza: la trêve est officiellement entrée en vigueur à 10h15

    L'accord de cessez-le-feu devait entrer en vigueur ce dimanche à Gaza après avoir été approuvé par le gouvernement israélien. Un temps reporté en raison du retard de la liste du Hamas concernant les otages libérés, il a finalement été effectif à partir de 10h15.

  • Léa Salamé : "période difficile" pour la journaliste, ses propos sur l’alcool lui reviennent en pleine face

    Aux commandes d'un nouveau numéro de l'émission Quelle époque ! samedi 18 janvier 2025 sur France 2, Léa Salamé fut la victime d'une petite pique de l'humoriste Paul de Saint-Sernin, qui a fait référence à ses précédents propos controversées sur l’alcool.

  • A Séoul, l'assaut du tribunal par des pro-Yoon en livestream sur internet

    Le rockeur sud-coréen Choi Jin-ho, 150.000 abonnés sur sa chaîne YouTube RockTV, se filme en direct dimanche pendant l'assaut sans précédent d'un tribunal de Séoul qui vient de prolonger la détention du président suspendu Yook Suk Yeol.Il tourne inlassablament son livestream durant sept heures, entouré de centaines d'autres sympathisants en colère du dirigeant coréen suspendu de ses fonctions et arrêté mercredi pour sa tentative avortée d'imposer la loi martiale.Sa vidéo montre des scènes de chaos: des pro-Yoon en furie pénètrant dans le tribunal en détruisant au passage portes et fenêtres avec des extincteurs, avant de gravir les escaliers du bâtiment."Pourquoi tout le monde n'est pas là? Allez venez tous!", lance un manifestant que l'on peut entendre dans cette vidéo, toujours disponible sur Youtube.A l'annonce vers 03H00 locales (18H00 GMT samedi) de sa décision de maintenir M. Yoon en détention pendant 20 jours, le Tribunal du district ouest de la capitale déclenche la colère des dizaines de milliers de manifestants rassemblés devant ses portes dès samedi.Des journalistes de l'AFP voient alors des centaines de policiers se précipiter dans le tribunal pour en déloger des pro-Yoon en furie, la police rapportant des dizaines d'arrestations au cours de cet "incident intolérable, illégal et violent".- Youtubers d'extrême droite-La police annonce ensuite une enquête sur l'implication des Youtubers affiliés à l'extrême droite dans la prise d'assaut du tribunal, mais les manifestants ne semblent nullement décontenancés. La détention du président "signifie la chute de l'Etat de droit en Corée du Sud", lance Cho Min-shik, un ouvrier du bâtiment de 32 ans. Le manifestant montre fièrement son poignet blessé après avoir cassé une vitre et s'être introduit dans le tribunal avec d'autres manifestants. Depuis son centre de détention, le président suspendu transmet régulièrement des lettres de remerciements et d'encouragements à ses soutiens inconditionnels qui comptent aussi des prêtres évangéliques.Son équipe juridique martèle dans le même temps que son arrestation est illégale.Devant le tribunal, épicentre de la colère, la police décide de déployer 1.400 agents pour contenir les manifestations, qui, selon des experts, sont "sans précédent" en Corée du Sud.L'équipe juridique de M. Yoon accuse, elle, dans un communiqué le tribunal et la police pour ces incidents.La décision de la cour de prolonger la période de détention du président signifie que "des citoyens enragés continuent les manifestations, et il en resulte de malheureux incidents violents"."Les accusations se multiplient selon lesquelles la police, qui était indulgente à l'égard des manifestations illégales des syndicats, provoque et réprime désormais violemment les manifestations pacifiques des citoyens", martèle l'équipe juridique du président suspendu.- Théories du complot-Yoon Suk Yeol a été arrêté le 15 janvier après un assaut du Bureau d'enquête sur la corruption (CIO) et de policiers sur sa résidence officielle, une première en Corée du Sud pour un chef de l'Etat en exercice.Mais le président, sous le coup de plusieurs enquêtes dont une pour "rébellion" et accusé d'avoir fait vaciller la démocratie en déclarant par surprise la loi martiale, refuse de reculer. Celui qui reste techniquement à la tête de l'Etat bien que suspendu en attendant la décision de la Cour, a promis de "se battre jusqu'au bout".De nombreux soutiens de Yoon interviewés par l'AFP ont répété des théories du complot, affirmant notamment que les élections parlementaires en Corée du Sud l'année dernière, gagnées par l'opposition, ont été truquées, une thèse défendue par M. Yoon.- "Stop the steal" -Les partisans de M. Yoon brandissent fréquemment des drapeaux américains et adoptent la rhétorique "Stop the steal" associée au président élu américain Donald Trump, dont les partisans ont pris d'assaut le Capitole de Washington pour tenter d'annuler sa défaite électorale de 2020.Ces rhétoriques reflètent la désinformation sur les fraudes électorales, qui a longtemps circulé parmi les conspirationnistes d'extrême droite en Corée du Sud. Emportés par un sentiment nationaliste et farouchement anti-communiste, leurs charges au vitriol visent des politiciens libéraux, qu'ils accusent d'être des agents nord-coréens complotant avec Pyongyang pour déstabiliser la démocratie sud-coréenne."Yoon doit revenir au pouvoir pour se débarrasser de tous les communistes du pays", lance Mme Lim, qui compte 5.000 adeptes sur sa chaîne YouTube et se décrit comme une chrétienne évangélique.kjk-hj/ceb/mtp/alh-sba/fio