Quelle huile choisir pour sa santé ? Les 3 à privilégier (et les 3 à limiter)

Au quotidien, il est conseillé de varier les huiles car elles n’ont pas toutes le même profil nutritionnel. Celles riches en oméga 3 (pour l'assaisonnement) et en oméga 9 (pour la cuisson) sont à privilégier. La mention “vierge” ou “extraite à froid” signifie que l’huile a été obtenue par simple pression des graines, les nutriments sont alors bien préservés. Si rien n’est indiqué, il s’agit le plus souvent d’une huile raffinée (chauffée pour en extraire davantage et débarrassée de ses “impuretés” à l’aide de solvants), elle est moins chère mais moins intéressante sur le plan nutritionnel.

Elle est composée à 75 % d’acide gras mono-insaturés (oméga 9), bons pour le système cardio-vasculaire, et elle est riche en polyphénols, des antioxydants qui protègent les cellules du vieillissement. Elle a également l’avantage de parfumer les salades et de supporter la cuisson.

Elle est à la fois bien pourvue en oméga 9 (60 %) et, dans une moindre mesure, en oméga 3 (8 %). Une cuillère à soupe couvre près de la moitié de nos besoins journaliers en oméga 3, des acides gras indispensables qui prennent soin du cerveau, du cœur et des yeux. Elle s’utilise uniquement en assaisonnement pour les préserver, ils sont sensibles à la chaleur.

Elle est riche en oméga 3 (11 %) mais aussi en oméga 6 (56 %), ce qui la rend un peu moins intéressante que l’huile de colza d’un point de vue nutritionnel. Elle se rattrape côté saveur dans les salades, car elle ne supporte pas la cuisson. Et elle est souvent produite (...)

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