Alimentation émotionnelle : comment savoir si je suis concerné et que faire ?

Alimentation émotionnelle : comment savoir si je suis concerné et que faire ?

Une rupture brutale, un licenciement, une contrariété, la météo, les menstruations, le stress…On a toujours une bonne raison de se jeter sur la nourriture, particulièrement sur des aliments sucrés. Cela arrive à tout le monde, mais quand ce comportement se généralise, on parle d’alimentation émotionnelle.

L’alimentation émotionnelle, également appelée faim émotionnelle, correspond à la prise de nourriture en lien avec une émotion, positive ou négative. La personne ne mange pas pour répondre à un besoin physiologique mais pour trouver du réconfort ou fêter un événement heureux. "Certaines personnes mangent au-delà de leurs besoins parce qu’elles ont perdu le contrôle, d’autres mangent parce qu’elles ont eu une mauvaise journée, parce qu’elles estiment qu'elles l’ont mérité…Elles se mettent à grignoter pour passer leurs nerfs alors qu’en réalité, elles ont besoin d’autre chose, elles mangent pour compenser un besoin qui n’a rien à voir avec la nourriture ou avec le besoin physiologique de manger", commente Véronique Liesse, diététicienne-nutritionniste, auteure de Ma bible pour maigrir sans régime (Éditions Leducs).

Manger sans avoir faim : l’ennui, la solitude, la tristesse, une contrariété…Autant d’émotions négatives qui peuvent pousser à manger.

Ne plus ressentir la satiété : en temps normal, notre corps nous indique que l’on n’a plus faim quand a suffisamment mangé. En cas de faim émotionnelle, on ne ressent plus ces signaux, ce qui nous pousse à manger au-delà de nos besoins. (...)

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