Etes-vous à risque d'AVC ? Répondez à ces 10 questions listées par un neurologue

Etes-vous à risque d'AVC ? Répondez à ces 10 questions listées par un neurologue

Troisième cause de mortalité en France (40 000 morts), l’accident vasculaire cérébral est la première cause de handicap acquis, certains patients gardant des séquelles lourdes et la deuxième cause de déclin intellectuel. C'est aussi est la première cause de mortalité chez les femmes de plus de 50 ans, devant le cancer du sein. Les causes sont variées et certaines pathologies - comme l’hypertension artérielle, le diabète ou le cholestérol - peuvent nous exposer à un risque plus élevé d’AVC.

Et ce qu'il faut garder en tête, c'est que l'AVC n'est pas une fatalité. On peut réellement agir sur les facteurs de risque pour limiter ses risques. Hypertension, tabagisme, cholestérol, activité physique, sont autant de leviers que l'on peut actionner pour réduire son risque.

“L’AVC est l’une des maladies les plus graves qui existent, compte tenu du handicap qui en découle, à la fois physique et mental”, explique le Pr Amarenco, neurologue. En France, l’AVC est l’une des premières causes de décès avec plus de 30 000 personnes par an, et est aussi responsable d’environ 120 000 hospitalisations par an. Mais qu’est-ce que l’accident vasculaire cérébral ? C’est une lésion, ou une destruction, d’une zone du cerveau. Dans 80 % des cas, il est causé par un caillot qui bouche une artère, on parle d’infarctus cérébral. Dans 20 % de cas, l'artère éclate, sous l'effet du vieillissement de la paroi artérielle et de l’hypertension. On fait le point sur la réalité de l’AVC et les différents facteurs de risque (...)

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