Cette erreur que l’on commet tous avec le potimarron, c’est le meilleur moyen de ruiner son plat
Il fait des merveilles en purée avec une pointe de curry, en gratin avec du parmesan ou en soupe avec du lait de coco. Facile à cuisiner et à accommoder, le potimarron a tout bon, à condition de bien le choisir…
C’est la courge incontournable de l’automne. Avec sa belle couleur orangée et sa douce saveur de châtaigne, le potimarron est l’allié des cuisiniers durant la saison froide. D’autant qu’il présente de nombreux bienfaits pour la santé. Riche en bêtacarotène, en vitamines C, D et E, en fer et en magnésium, il est idéal pour recharger les batteries avant l’hiver. Mais encore faut-il savoir le choisir…
Comment choisir un potimarron ?
Parmi les erreurs les plus courantes : faire fi de son pédoncule (la petite tige qui le surplombe). Lorsque vous achetez une courge entière, vérifiez que son pédoncule soit toujours bien présent et pas trop sec. Comme le souligne Interfel (l’Interprofession des Fruits et Légumes Frais), « c’est le gage d’une bonne conservation car le pédoncule ralentit la déshydratation ».
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Les autres éléments à scruter quand on achète un potimarron
La présence du pédoncule n’est pas la seule chose à surveiller :
Assurez-vous que son écorce ne soit ni fissurée ni marquée.
Si vous l’achetez déjà découpé, vérifiez que sa chair soit d’une couleur uniforme, sans aucune tache brune. Si sa chair est molle et visqueuse, fuyez : il s’agit d’un potimarron trop mûr.
Enfin, n’oubliez pas de soupeser la bête : la cucurbitacée...