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Capricorne

22 DÉCEMBRE - 20 JANVIER

Amour : Méfiez-vous de votre émotivité. Elle nuira à votre lucidité et vous conduira à mal interpréter certains propos. Vous êtes vraiment trop sensible en ce moment.

Travail-Argent : Il sera plus sage de ne prendre aucune initiative, aussi bien dans le domaine professionnel que financier. Les astres ne favoriseront pas ces secteurs aujourd'hui.

Santé : Reposez-vous. Vous en avez bien besoin.

06 october
Illustrations de Jo Ratcliffe
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    Les fêtes approchent et vous hésitez pour le cadeau de votre cœur Balance ? C’est normal : elles aiment tout. Mais, nous, on sait exactement ce qu’elles veulent pour Noël.

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    Jesé, ancien joueur du Real Madrid et du PSG, déplore les attitudes dopantes dans le football, sans toutefois donner de de noms de joueurs, de clubs, ni de périodes où ces agissements avaient lieu.

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    En six mois, le constructeur automobile a perdu tout ce qu’il avait mis des années à construire.

  • Transport des malades: des chauffeurs de taxi en colère et inquiets mobilisés à Lyon et Toulon

    "C'est la mort du transport médical": des centaines de chauffeurs de taxi perturbent lundi la circulation autour de Lyon et Toulon, pour protester contre une convention en cours de négociation avec l'Assurance maladie incluant une tarification à la baisse du transport de malades.Feux de détresse allumés, quelque 150 véhicules stationnaient déjà avant l'aube, en files indiennes, sur un échangeur à l'ouest de Lyon, sans pour autant bloquer totalement la circulation. "Taxis en grève", "taxi médical en danger", pouvait-on lire sur certains.Nicolas Galliot, 43 ans, a fait la route depuis Clermont-Ferrand. À la tête d'une société de taxis, le transport médical représente 60 à 70% de son chiffre d'affaires. "Mais pour les taxis de campagne, ça peut monter jusqu'à 100%", a-t-il précisé.Si cette convention est adoptée, "ce sera au détriment de mes salariés, de la valeur de nos licences, mais surtout des patients", affirme-t-il.Afin de réaliser 300 millions d'euros d'économies sur les transports sanitaires, le gouvernement Barnier souhaite contraindre taxis et transporteurs sanitaires à négocier des mesures avec l'Assurance maladie, sous peine de baisses tarifaires imposées.De plus, un décret d'application du budget de la sécu pour 2024 prévoit qu'un patient ne puisse plus refuser, sauf exception, un transport sanitaire partagé, sous peine de devoir avancer les frais et de n'être remboursé que sur la base du transport partagé. Les patients devront aussi être pris en charge en moins de 45 minutes, et par secteur géographique avec une limite kilométrique de détour par patient."Non seulement on va attendre très longtemps pour remplir la voiture, on va faire des tournées qui n'en finiront pas, mais aussi on va détériorer le service qu'on a mis en place depuis des années avec les patients", explique à l'AFP Abdel Green, président de la Fédération des taxis indépendants du Rhône (FTI69).- Bivouac -Venus du Puy-de-Dôme, de l'Isère, la Drôme, la Loire ou encore la Haute-Loire, les chauffeurs de taxis ont notamment bloqué plusieurs voies de l'A7, de l'A43 et de l'A46, provoquant plusieurs dizaines de kilomètres d'embouteillages ou de ralentissements à l'entrée de l'agglomération lyonnaise.Au coeur de la ville, devant l'hôpital Edouard Herriot, ils étaient une trentaine à stationner et à distribuer des tracts vers 07H00, tout en se réchauffant autour d'un café.En transport médical, "l'approche n'est pas la même qu'avec un client qu'on récupère à la gare", souligne Mohammed, 36 ans, assis dans son véhicule à l'arrêt et dont près de 90% de son travail est du transport médical."Pour la plupart des patients, pendant le trajet, c'est une sorte de libération. Ils ne se sentent pas malades quand ils sont dans le véhicule. Ça leur permet d'oublier. Ils nous racontent leurs soucis, nous leur racontons les nôtres", illustre-t-il."Et avec la nouvelle convention, ils n'auront plus le choix du transporteur", renchérit le chauffeur lyonnais.Concrètement: "C'est la mort pour nous", résume à côté de lui son confrère Adil, 42 ans et dix ans de métier. "Si ça doit durer un mois, ça durera un mois. On est prêts même à monter jusqu'à Paris", prévient-il.Les taxis mobilisés dans l'agglomération de Lyon doivent converger au fil de la journée vers le centre-ville pour se retrouver à partir de 18H00 Place Bellecour, où ils comptent bivouaquer durant la nuit.Quelques perturbations en Provence-Alpes-Côte d'Azur ont aussi été constatées dans la matinée, notamment autour de Toulon. Plusieurs entrées dans le centre-ville ont été perturbées, occasionnant quelques kilomètres de bouchons, et le tunnel de Toulon a été fermé, a indiqué Vinci à l'AFP.Plusieurs cortèges sont également partis des alentours de Marseille pour converger au péage de Lançon-de-Provence dans les Bouches-du-Rhône."Ces réformes ne fragilisent pas seulement notre métier, elles affaiblissent également tout le système de santé", regrette le Syndicat "Taxis en route 13" des Bouches-du-Rhône dans un communiqué."Avec la nouvelle convention, on va vers la précarité et la perte de 40.000 entreprises artisanales", ajoute auprès de l'AFP Leïla Ghorzi, sa présidente.bla-vk-ic/epe/rhl

  • La réaction d’Isabelle Adjani à la mort de Niels Arestrup fait écho à d’autres accusations

    L’actrice avait révélé que le comédien lui avait donné une gifle violente dans les années 80 alors qu’ils étaient sur les planches ensemble.

  • Raids russes et syriens meurtriers en Syrie après une offensive rebelle

    Des avions syriens et russes ont bombardé lundi des secteurs rebelles du nord-ouest de la Syrie, tuant 11 civils dont des enfants, après la perte de la ville d'Alep par le régime lors d'une offensive menée par les insurgés, a indiqué une ONG.C'est la première fois depuis le début de la guerre en Syrie en 2011 que le pouvoir, un allié de l'Iran et de la Russie, perd totalement le contrôle de la ville septentrionale, un revers cinglant infligé par le groupe islamiste Hayat Tahrir al-Cham (HTS) et des factions rebelles syriennes alliées dont certaines sont appuyées par la Turquie.Cette coalition de combattants antigouvernementaux, présente en force dans la province d'Idleb (nord-ouest), a lancé une offensive fulgurante le 27 novembre, prenant des dizaines de localités et s'emparant de la ville septentrionale d'Alep à l'exception des quartiers nord habités par des Kurdes, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).Le président syrien Bachar al-Assad a cherché à obtenir le soutien de ses alliés face à cet assaut fulgurant qui a fait plus de 457 morts, en majorité des combattants mais incluant aussi plus de 72 civils, selon l'Observatoire, une ONG disposant d'un vaste réseau de sources en Syrie.La Russie, qui dispose de plusieurs bases en Syrie, a dit vouloir aider M. Assad et ses forces à "repousser" les rebelles dans les provinces d'Idleb, de Hama, plus au sud, et d'Alep, alors que l'Iran a réitéré son soutien "ferme" au régime Assad.Au lendemain de frappes meurtrières à Alep et Idleb, les avions russes et syriens ont mené lundi de nouveaux raids contre des régions aux mains des rebelles dans la province d'Idleb, ciblant notamment la ville éponyme et un camp de déplacés, a indiqué l'OSDH en faisant état de 11 civils tués dont cinq enfants.Dans la ville d'Alep, des images de l'AFPTV ont montré des rebelles armés patrouillant dans les rues d'Alep à bord de véhicules militaires ou à pied. Certains ont incendié un drapeau syrien ou un portrait de M. Assad, d'autres ont brandi le drapeau de la révolution. Même si la plupart des rues semblent vides, des Syriens sont sortis pour acclamer l'avancée des combattants antigouvernementaux.Ces derniers "se veulent bienveillants et ont "distribué du pain gratuitement aux carrefours" dimanche, a indiqué un habitant joint par téléphone.- "Sans résistance" -Les rebelles ont atteint la citadelle historique d'Alep et pris des bâtiments gouvernementaux, des prisons et l'aéroport international d'Alep "sans rencontrer de résistance significative", a dit l'OSDH.En 2015 et avec l'appui militaire crucial de la Russie et de l'Iran, le régime Assad avait lancé une contre-offensive qui lui avait permis de reprendre progressivement le contrôle d'une grande partie du pays et en 2016 de la totalité de la ville d'Alep, poumon économique de la Syrie d'avant-guerre.Les violences des derniers jours, les premières de cette ampleur depuis 2020, font craindre une reprise des hostilités à grande échelle dans un pays morcelé en plusieurs zones d'influence, où les belligérants sont soutenus par différentes puissances régionales et internationales.Après avoir rencontré M. Assad à Damas, le chef de la diplomatie d'Iran, Abbas Araghchi, doit s’entretenir lundi à Ankara avec son homologue turc Hakan Fidan et le président Recep Tayyip Erdogan.La Turquie, qui contrôle plusieurs zones du nord de la Syrie et soutient plusieurs groupes rebelles syriens, a dit soutenir les efforts pour "mettre fin à la tension" dans ce pays frontalier.Le début de l'offensive rebelle a coïncidé avec l'entrée en vigueur d'un cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah libanais, un allié de M. Assad et de l'Iran sorti affaibli de la guerre au Liban.- Front Kurdes/rebelles -Dans un communiqué conjoint, les Etats-Unis, la France, l'Allemagne et le Royaume-Uni ont appelé dimanche à la "désescalade" en Syrie, soulignant l'urgence d'une "solution politique".Les Etats-Unis, qui disposent eux aussi de soldats au sol dans le nord de la Syrie, soutiennent les Forces démocratiques syriennes (FDS) dominées par les Kurdes, qui ont combattu le groupe jihadiste Etat islamique (EI) en Syrie.Les FDS oeuvrent pour évacuer "en toute sécurité" des civils kurdes de secteurs de la province d'Alep, notamment la ville de Tal-Rifaat, vers leurs "zones sûres dans le nord du pays", où elles ont instauré une administration autonome, a déclaré leur chef Mazloum Abdi.Dimanche, des groupes rebelles proturcs ont annoncé voir pris aux forces kurdes Tal Rifaat proche de la frontière turque, où selon l'Observatoire environ 200.000 Kurdes syriens sont encerclés.Avant leur offensive, le nord-ouest de la Syrie bénéficiait d'un calme précaire en vertu d'un cessez-le-feu instauré en 2020, sous le parrainage d'Ankara et de Moscou.HTS et rebelles contrôlent une bonne partie de la province d'Idleb, ainsi que des secteurs des provinces d'Alep, de Hama et de Lattaquié. Déclenché en 2011 après la répression brutale de manifestations prodémocratie, le conflit en Syrie a fait environ un demi-million de morts.bur/tp/ila