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Lion

23 JUILLET - 22 AOÛT

Amour : Vous démarrerez au quart de tour. Vous prendrez la moindre remarque pour une critique ! Attention, ne flirtez pas sous le nez de votre conjoint ! Célibataire, il n'est pas impossible que vous croisiez quelqu'un qui fera battre votre cœur très vite. Vous serez plus sensible à l'appel de l'aventure.

Travail-Argent : Vous aurez plus que jamais la tête sur les épaules. Vous serez sûr de vous et rien ne modifiera votre jugement. Dans votre travail, vous devriez pouvoir aller de l'avant mais méfiez-vous des rumeurs infondées.

Santé : Votre tonus vous pousse aux excès. Vous pourriez passer de l'excès de tension à l'hypotension.

14 november
Illustrations de Jo Ratcliffe
  • Coupe de France : Deux grosses affiches Ligue 1 au menu des 32es de finale

    football - Lens-PSG et Saint-Etienne-Marseille seront les principales rencontres du prochain tour de la Coupe de France de football

  • Guinée: trois jours de deuil national après le drame de N'Zérékoré et l'ouverture d'une enquête

    Dans la capitale de la région forestière de Guinée a eu lieu une bousculade meurtrière dimanche 1er décembre 2024 au stade du 3 avril lors de la finale d'un tournoi de foot organisé en soutien au président de la transition Mamadi Doumbouya. Le gouvernement avance un bilan provisoire de 56 morts. Mais la rencontre s'est achevée par des affrontements avec les forces de l'ordre et un important mouvement de panique. Accompagné du général Amara Camara, porte-parole de la présidence qui avait lui-même

  • Perpétuité requise pour l'auteur d'un féminicide qui a bouleversé l'Italie

    Un tribunal italien rend mardi son verdict dans le procès d'un étudiant qui avait poignardé à mort son ex-petite amie, un crime qui avait déclenché une vague de manifestations et jeté un éclairage sinistre sur les féminicides dans la péninsule.Sur 276 meurtres recensés par le ministère italien de l'Intérieur cette année, 100 victimes étaient des femmes – 88 tuées par un proche, la grande majorité par un partenaire ou un ex.

  • Mali: l'ONG ICG prône un «ajustement» de la «trajectoire souverainiste» de la Transition

    Plus de quatre années après le coup d'État militaire qui a installé le régime en place, l'ONG internationale fait le bilan de la période transition en cours : de l'espoir suscité par les promesses de changement à la « spirale autoritaire » actuelle, les chercheurs occidentaux et ouest-africains de l'ONG suggèrent aux autorités maliennes de transition d'adopter « une vision plus inclusive du souverainisme. » Parce qu'elles sont bien en place, pour une durée toujours indéterminée, l'ONG préfère ad

  • Nigeria: l'utilisation d'explosifs par des «bandits» inquiète la population de l'État de Zamfara

    Dans l'État de Zamfara, dans le nord-ouest du Nigeria, la population est dans la crainte après l'utilisation d'un engin explosif par les « bandits » locaux le long d'une route. Ces groupes armés terrorisent la région, kidnappent, volent et tuent, rendant la vie des habitants impossible, mais l'usage d'explosif est une première dans cette zone. Un châssis calciné, planté dans un cratère, c'est tout ce qu'il reste du véhicule civil et de son conducteur, tombé ce dimanche dans une embuscade tendu p

  • La protection du loup menacée de déclassement

    L'avenir du loup est-il menacé en Europe?- "Aucune conséquence positive" - Un potentiel déclassement du loup n'aurait "aucune conséquence positive sur le bétail des éleveurs en France et en Europe", assure le cofondateur de l'Observatoire du loup, Jean-Luc Valérie.

  • Allemagne : les syndicats de VW entament un bras de fer

    Des grèves d'avertissement pour empêcher les licenciements : les syndicats de Volkswagen se disent prêts à un conflit comme l'Allemagne "n'en pas connu depuis des décennies."View on euronews

  • En Turquie, Sebnem Korur Fincanci dans le viseur du pouvoir

    Figure majeure de la société civile turque, cette militante de gauche et médecin légiste est sous le coup de multiples procès intentés par le pouvoir contre son activisme en faveur des droits de l’homme. Un portrait publié à l’occasion de la campagne “Changez leur histoire” d’Amnesty International.

  • La course aux armements s’intensifie en Algérie et au Maroc

    La conflictualité au Maghreb s’intensifie. Le signe le plus certain en est la hausse des dépenses militaires en Algérie comme au Maroc, s’alarme “El Confidencial”. Chacun des deux pays, engagés dans une rivalité latente exacerbée par la question du Sahara occidental et la guerre à Gaza, s’est engouffré dans une course aux armements inédite.

  • Guinée: l'ex-président de l'Assemblée nationale Amadou Damaro Camara condamné à 4 ans de prison

    Amadou Damaro Camara, l’ex-président de l’Assemblée nationale sous Alpha Condé a été reconnu coupable de détournement de deniers publics et de corruption par la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF). Il écope de 4 ans de prison ferme et d’une amende de 5 milliards de francs guinéens. Avec notre correspondant à Conakry, Mouctar BahDans cette affaire impliquant Amadou Damaro Camara et cinq autres personnes le procureur près la Cour de répression des infractions écon

  • Emmanuel Macron entame une visite d'État de trois jours en Arabie saoudite

    Le président français a entamé lundi une visite d'État de trois jours en Arabie saoudite pour intensifier les liens avec ce puissant acteur du Moyen-Orient. Emmanuel Macron et le prince Mohammed ben Salmane ont conclu un partenariat stratégique visant à intensifier les liens bilatéraux et se sont engagés à oeuvrer pour une désescalade dans la région, du Liban à Gaza.

  • Biden en Angola pour sa seule visite officielle sur le continent africain

    Le président américain Joe Biden effectue mardi et mercredi un déplacement en Angola destiné à affirmer les ambitions de Washington face à la Chine, une visite historique qui risque d'être en partie éclipsée par sa décision de gracier son fils Hunter.Surtout, elle risque d'être éclipsée par la grâce présidentielle étendue tout juste accordée par le démocrate de 82 ans à son fils Hunter.

  • Guerre Israël-Gaza: la famine et la malnutrition s'emparent des Gazaouis

    L'ONU qualifie la situation à Gaza « d'épouvantable et apocalyptique ». En 14 mois de guerre, les bombardements israéliens ont fait plus de 44 000 morts. Mais dans l’enclave palestinienne, le danger ne vient pas uniquement du ciel. « La malnutrition est endémique et la famine est imminente », alerte le secrétaire général des Nations unies. C’est Israël qui contrôle les quantités d’aide humanitaire acheminées chaque jour à Gaza. Mais une fois les convois entrés, ils sont à la merci des pilleurs.

  • Calendrier de l’avent 2024 : Tentez de remporter 2x2 places pour assister au spectacle de Disney sur Glace !

    Jour 3 - À l’occasion du Jour 3 de notre calendrier de l’Avent, « 20 Minutes », en partenariat avec Disney sur Glace, vous fait gagner 2x2 places pour assister à la représentation du spectacle « Un Monde de Rêves »

  • «Un manuel de la corruption», le procès en Suisse contre Trafigura révèle les méthodes du géant du négoce

    Ce lundi 2 décembre s’est ouvert en Suisse le procès public de Trafigura pour corruption d’agent public en Angola. Jusqu’à présent, le géant du négoce de pétrole et de métaux, dont le siège historique est à Genève, avait échappé aux procès en payant des amendes, au Brésil ou aux États-Unis. Cette fois, le tribunal de Bellinzone, dans le sud-est de la Suisse, convoque à la barre quatre prévenus, dont la société Trafigura elle-même et l’un de ses principaux anciens dirigeants. Une première. La sal

  • Béziers : Suspectée du meurtre de son voisin de 61 ans, une femme de 22 ans mise en examen

    homicide - Arrêtée couverte de sang et accompagnée de sa fille de six ans, la mère de famille nie avoir intentionnellement donné la mort à son voisin

  • Barnier fragilisé dans l'attente d'une censure presque inéluctable

    Ambiance de fin de règne au lendemain du déclenchement du 49.3 pour faire adopter le budget de la Sécurité sociale: le gouvernement de Michel Barnier aborde mardi les échéances parlementaires dans une position extrêmement fragilisée, dans l'attente du couperet de la censure attendue pour mercredi ou jeudi.La séance de questions au gouvernement prévue dans l'après-midi à l'Assemblée promet d'être tendue, alors que les députés seront appelés dans la semaine à se prononcer sur une motion de censure qui a toutes les chances d'être approuvée, la gauche et le Rassemblement National ayant annoncé qu'ils la voteraient."La chute de Barnier est actée", a proclamé la cheffe des députés insoumis Mathilde Panot. Nommé le 5 septembre, il aura tenu trois mois grâce au "soutien sans participation du RN" et, "ce qui le fera tomber, c'est justement que le RN aura cessé de le soutenir", a souligné le député PS Arthur Delaporte.Lundi, le Premier ministre a engagé sans surprise la responsabilité de son gouvernement sur le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS), assurant avoir été "au bout du dialogue" avec les groupes politiques, y compris le Rassemblement national. Les gestes annoncés par Michel Barnier pour répondre aux exigences du parti à la flamme - notamment sur le remboursement des médicaments - n'auront toutefois pas suffi: "Nous voterons la censure", a affirmé lundi Marine Le Pen, pour qui M. Barnier n'a "pas souhaité répondre à la demande des 11 millions d'électeurs" de sa formation.Mardi matin, la conférence des présidents de l'Assemblée nationale devrait selon toute vraisemblance décider de la date - sans doute mercredi ou jeudi - du débat et du vote sur les motions de censure déposées par le Nouveau front populaire et le Rassemblement national.- "Vertigineux" -L'adoption par l'Assemblée nationale d'une telle motion serait une première depuis le renversement du gouvernement de Georges Pompidou en 1962. Le gouvernement Barnier deviendrait alors le plus court de l'histoire de la Ve République.Pour faire chuter le gouvernement, 288 députés devront voter la censure, soit un nombre très largement à la portée d'une alliance de circonstances entre la gauche et le RN.Si l'exécutif tombait, la France s'enfoncerait encore plus dans la crise politique créée par la dissolution de l'Assemblée nationale par Emmanuel Macron en juin, avec en outre le risque d'une crise financière liée à la capacité des pouvoirs publics à emprunter sur les marchés à de faibles taux. Sans budget de la Sécurité sociale, "le déficit des comptes sociaux atteindrait près de 30 milliards d'euros l'an prochain", a mis en garde lundi le ministre du Budget Laurent Saint-Martin.L'Elysée n'a fait aucun commentaire sur la nouvelle donne politique, alors qu'Emmanuel Macron a atterri lundi à Ryad pour une visite d'Etat de trois jours en Arabie saoudite. Mais c'est bien le chef de l'Etat qui aura rapidement la main car, si le scénario d'une censure se confirme, il devra nommer un Premier ministre.Ancien titulaire de la fonction, Gabriel Attal a appelé les oppositions "à ne pas céder à la tentation du pire"."Si la censure est votée cette semaine, les Français devront se souvenir de cette alliance qui l'a rendue possible", a-t-il prévenu. "Cette alliance de toute la gauche, y compris d'un Parti socialiste pour qui l'intérêt général n'est plus qu'un lointain souvenir, avec le RN".En attendant, les débats doivent se poursuivre dans les deux chambres du Parlement. Le Sénat doit continuer de débattre mardi du budget de l'Etat - texte sur lequel le recours au 49.3 semblait de toute façon également inévitable. Et une commission mixte paritaire (CMP), associant sept députés et sept sénateurs, doit se pencher sur le budget de "fin de gestion" pour 2024, qui permet au gouvernement de fixer d'ultimes ajustements budgétaires pour l'année en cours.Pour les députés, "il y a quelque chose d'extrêmement vertigineux" à continuer ainsi à travailler alors que la censure semble quasi inéluctable, a dit à l'AFP le député PS Arthur Delaporte. "On se creuse les méninges, on essaye de préparer la suite", a-t-il ajouté.ab/hr/lpa

  • Macron poursuit sa visite d'Etat en Arabie avec un volet économique

    Emmanuel Macron poursuit mardi sa visite d'Etat en Arabie saoudite, loin de la crise politique qui secoue la France, avec un important volet économique, après la signature la veille d'un partenariat stratégique entre les deux pays.Arrivé lundi soir à Ryad alors qu'une censure du gouvernement devenait quasi-inéluctable à Paris, le président français a rejoint le Palais royal sans dire un mot de l'emballement politique à 6.000 kilomètres de là.La solennité de la cérémonie d'accueil et l'entretien en tête-à-tête avec le prince héritier et dirigeant de facto du pays Mohammed ben Salmane ("MBS") ont en miroir paru aux antipodes de l'instabilité qui agite de nouveau la France. Les deux dirigeants ont signé un partenariat stratégique avec l'ambition de "multiplier les coopérations dans tous les domaines", de la défense à la transition écologique et la culture. Ils sont aussi "convenus de fournir tous les efforts pour contribuer à la désescalade" au Moyen-Orient, selon l'Elysée. Ils ont notamment appelé à l'élection d'un président au Liban - dont le pays est privé depuis plus de deux ans - après l'entrée en vigueur d'une trêve le 27 novembre entre Israël et le mouvement chiite Hezbollah. Après cette séquence politique lundi, place au business :  Emmanuel Macron doit clôturer dans l'après-midi un forum d'affaires franco-saoudien, l'occasion de lancer des partenariats dans l'économie du futur, des énergies renouvelables à l'intelligence artificielle.- "Incontournable" -Une visite du métro de Ryad, de conception française, prévue le matin a en revanche été annulée sans explication."Notre souhait, c'est de pouvoir, à travers cette visite, consolider la place de la France comme un partenaire incontournable et fiable pour l'Arabie saoudite dans tous les domaines de son développement", souligne l'Elysée.Le royaume s'est engagé sous la houlette de son jeune dirigeant dans une profonde modernisation économique et sociale, intitulée "Vision 2030°, à grand renfort d'investissements.Le chef de l'Etat est accompagné d'une cinquantaine de patrons de grands groupes français (Total, EDF, Veolia...) et de start-up (Pasqal, Alan, Mistral...) emblématiques de l'économie du futur.Un certain nombre de contrats et déclarations d'intention doivent être signés, portant notamment sur le développement des énergies renouvelables alors que l'Arabie, premier exportateur de brut mondial, accélère sa diversification.Le royaume, qui accueillera l'Expo universelle en 2030 et le Mondial-2034 de foot - il est seul en lice - entend aussi accélérer son ouverture au monde en modernisant au passage son image.La France, forte de la réussite des Jeux olympiques de Paris, espère pouvoir apporter son expertise dans l'organisation de ces événements.- Droits humains -Elle est aussi un partenaire privilégié dans la mise en valeur du patrimoine archéologique d'Al-Ula, près de Médine (nord-ouest), dont le royaume entend faire un site touristique phare du Moyen-Orient et où le président terminera sa visite mercredi.MBS, un temps paria après l'assassinat du journaliste Jamal Khashoggi en Turquie en 2018, est revenu depuis au centre du jeu sur la scène internationale, échangeant avec Pékin comme Moscou et sur le point de retrouver un allié de poids en la personne de Donald Trump à Washington.Emmanuel Macron, l'un des premiers à lui avoir rendu visite quand il était encore ostracisé, espère aussi intensifier sa relation avec lui. Les deux dirigeants se retrouveront d'ailleurs pour un dîner en tête-à-tête mardi.Les droits humains restent néanmoins un point noir du jeune dirigeant, entre répression des dissidents et fréquentes exécutions."L'excellence de notre relation nous permet d'aborder tous les sujets, y compris ceux-ci", assure de son côté l'Elysée, sans préciser si la question a été abordée lundi soir.Le président français, qui souhaite aussi associer l'Arabie à ses engagements sur les grands enjeux globaux, co-présidera par ailleurs un sommet dédié à la gestion durable de l'eau, le One Water Summit, en marge de la COP16 désertification, mardi à Ryad.vl/lpa

  • Israël : Un ministre d’extrême droite parle d’un « coup d’État » après l’arrestation de policiers

    diatribe - Soupçonnés de corruption et d’abus de confiance, des proches d’Itamar Ben Gvir, ministre de la Sécurité nationale, ont été arrêtés

  • Malgré la répression policière, des milliers de manifestants pro-UE en Géorgie

    Des milliers de manifestants pro-UE se sont à nouveau rassemblés lundi soir devant le Parlement à Tbilissi, la capitale de la Géorgie, avant d'être repoussés par la police, au cinquième jour d'une mobilisation d'ampleur dans ce pays du Caucase. Le parti Rêve géorgien, au pouvoir depuis 2012 et accusé par ses opposants de dérive autoritaire prorusse, a déclenché jeudi ces protestations en repoussant à 2028 des négociations d'adhésion avec l'UE.