Sagittaire

23 NOVEMBRE - 21 DÉCEMBRE

Amour : Pétulant et malicieux, vous pourriez aspirer à un bonheur sans nuages. Seulement, c'est une hypothèse à effacer car vous ne prônez pas la fidélité. Conflits en vue !

Travail-Argent : Une période propice à la prise de nouveaux contacts. Avec votre charisme et votre pouvoir de persuasion, vous saurez vous faire apprécier de tous et mettre en avant vos projets personnels.

Santé : Vous avez besoin de repos.

12 january
Illustrations de Jo Ratcliffe
  • Vers une titularisation à Dortmund? Comment Warren Zaïre-Emery a réussi à revenir plus vite que prévu

    De retour dans le groupe et entré en jeu samedi lors de la victoire du PSG face à Nantes (2-1), Warren Zaïre-Emery postule à une place de titulaire pour le déplacement à Dortmund mercredi, dans un match capital de Ligue des champions. Le résultat d'un retour express pour le jeune milieu de terrain, qui a beaucoup travaillé pour accélérer son retour.

  • Européennes 2024 : Cohn-Bendit rompt avec Macron et plaide pour une alliance PS/Verts derrière Glucksmann

    L’ancien eurodéputé Daniel Cohn-Bendit souhaite la formation d’une liste rassemblant EELV, le PS et le Parti radical de gauche derrière Raphaël Glucksmann, en vue des élections européennes de 2024.

  • Ligue des nations féminine: l’équipe de France affrontera l'Allemagne en demi-finale

    Qualifiée pour le Final Four de la Ligue des nations, l’équipe de France féminine affrontera l'Allemagne le 23 février 2024 à domicile. En cas de qualification pour la finale, les Bleues se rendront en Espagne ou aux Pays-Bas

  • Hanouka à l’Élysée : « Emmanuel Macron et les pompiers pyromanes »

    ENTRETIEN. Si le président a varié sur la laïcité, il ne s’est pas rallié à la cause du multiculturalisme, estime le politologue Philippe Raynaud.

  • La procédure de sauvegarde accélérée de Casino prolongée jusqu'au 25 février

    Le Tribunal de Commerce de Paris a sans surprise prolongé jusqu'au 25 février la période de sauvegarde accélérée dans laquelle le groupe Casino est entré fin octobre, selon plusieurs sources interrogées lundi matin à la sortie d'une audience à Paris.L'intersyndicale du distributeur (FO, CGT, CFDT, UNSA, CFE-CGC), présente à l'audience, a rapporté que le tribunal avait validé la prolongation de la période de sauvegarde accélérée dans laquelle est entré le groupe, en grandes difficultés financière

  • Olivia Ruiz raconte son pire souvenir de la Star Academy

    Olivia Ruiz raconte son pire souvenir de la Star Academy

  • Appel à l'Iran pour laisser la famille de Mahsa Amini venir recevoir le prix Sakharov

    Plus d'une centaine d'eurodéputés ont appelé Téhéran à laisser la famille de l'Iranienne Mahsa Amini venir en France pour recevoir le prix Sakharov pour les droits humains, décerné à la jeune fille à titre posthume, dans une lettre ouverte diffusée lundi."Cette restriction vise à réduire au silence la famille de Jina Mahsa Amini, en l'empêchant de dénoncer la répression scandaleuse des droits des femmes, des droits humains et des libertés fondamentales par la République islamique en Iran", s'ins

  • « C’est bizarre, le célibat » : jeune divorcée, Britney Spears raconte sa solitude

    Célibataire depuis août dernier, Britney Spears a pris la parole sur Instagram, se confiant sur son célibat et ce qu’elle en a tiré.

  • Cardi B retarde ses règles grâce à cette recette devenue virale sur TikTok, les professionnels de santé tirent la sonnette d’alarme

    En 2019, la rappeuse Cardi B a expliqué prendre un curieux mélange, expliquant que sa "recette", deux ibuprofènes mélangés avec de la gélatine, retardait l'arrivée de ses règles. Récemment, cette "astuce" est devenue virale sur TikTok, où de nombreuses utilisatrices conseillent ce traitement maison et vantent son efficacité, alors que les professionnels de santé sont plus que réservés.

  • Allaiter en public : pourquoi ça choque encore

    Alors que dans notre société le corps féminin est hypersexualisé, voir une mère donner le sein à son bébé provoque souvent des réactions hostiles. Paradoxal, non ?

  • Laurent Ruquier : l'ancien directeur de France 2 commente son arrivée sur BFMTV

    Laurent Ruquier : l'ancien directeur de France 2 commente son arrivée sur BFMTV

  • Covid: Rishi Sunak défend son action et relativise son rôle

    Entendu par la commission d'enquête britannique sur le Covid-19, le Premier ministre Rishi Sunak, dont certaines décisions ont été accusées de contribuer à la propagation du virus, s'est employé lundi à relativiser son rôle dans l'action du gouvernement de l'époque.Le témoignage du Premier ministre intervient au moment où son autorité est malmenée au sein du parti conservateur, à la veille d'un vote crucial sur son nouveau plan pour expulser des migrants au Rwanda, jugé trop faible par l'aile droite des Tories.Rishi Sunak, qui était ministre des Finances pendant la pandémie, était interrogé quelques jours après l'ex-Premier ministre Boris Johnson, qui a présenté ses excuses aux familles de victimes et reconnu qu'il aurait dû prendre conscience de la gravité de la crise "beaucoup plus tôt".L'occupant actuel de Downing Street, en poste depuis un an, a lui aussi entamé son témoignage par des excuses, disant être "profondément désolé pour tous ceux qui ont perdu des êtres chers, des membres de leurs familles et pour tous ceux qui ont souffert de différentes manières tout au long de la pandémie".Cette dernière a fait plus de 230.000 morts au Royaume-Uni et la commission d'enquête se penche actuellement sur la gouvernance et la gestion politique lors de l'apparition du virus.Rishi Sunak doit notamment être interrogé sur ses réticences à imposer des restrictions trop fortes pendant la pandémie et sur ses critiques quant au rôle des scientifiques durant la crise sanitaire.Mais il a, dès le début de son intervention, insisté sur le fait que c'était Boris Johnson qui prenait les décisions, et que son rôle de chancelier de l'Echiquier consistait à apporter les informations relatives aux conséquences économiques des mesures envisagées.L'ex-ministre des Finances a réfuté tout "clash entre santé publique et économie": "Il y avait un certain nombre de répercussions, beaucoup de répercussions socio-économiques, de répercussions sur l'éducation, sur la santé mentale, sur le système judiciaire, ainsi que les répercussions purement économiques", a-t-il insisté, estimant qu'il était important pour les pouvoirs publics de toutes les examiner. Rishi Sunak est notamment critiqué pour des mesures prises à l'été 2020 pour inciter les gens à aller au restaurant, comme le dispositif "Eat out to help out" (manger dehors pour aider les restaurants), décrié par les scientifiques conseillant le gouvernement.Ces derniers ont estimé devant la commission d'enquête que cela a participé à l'ampleur de la deuxième vague épidémique à l'automne 2020.- "Dr Death" -L'une d'entre eux, Angela McLean, avait ainsi surnommé Rishi Sunak "Dr Death" (Dr Mort) dans un échange de messages WhatsApp avec un collègue, a révélé l'enquête, tandis que l'ancien médecin-chef pour l'Angleterre Chris Whitty avait rebaptisé le dispositif "manger dehors pour aider le virus" (Eat out to help out the virus).Des conseillers ont aussi accusé Rishi Sunak, attaché à soutenir l'économie britannique mise à terre par les restrictions, d'avoir voulu ignorer ou minimiser les avis des scientifiques durant la pandémie.En témoigne une note écrite par l'ancien conseiller scientifique du gouvernement Patrick Vallance, dans laquelle il rapporte des propos de l'ancien chef de cabinet de Boris Johnson, Dominic Cummings, affirmant que Rishi Sunak "pense qu'on peut simplement laisser les gens mourir et ce n'est pas grave".En août 2022, en plein coeur de la campagne pour succéder à Boris Johnson à la tête des conservateurs, Rishi Sunak avait aussi qualifié de "problème" le fait de donner le pouvoir aux scientifiques, dans un entretien au journal The Spectator. Les travaux de la commission d'enquête indépendante, présidée par l'ancienne juge Heather Hallett, devraient durer jusqu'en 2026.Ils ont remis sur le devant de la scène les accusations visant le gouvernement de Boris Johnson qui avait tardé à prendre la mesure de l'ampleur de la crise sanitaire. Depuis, la presse conservatrice se montre très critique contre les confinements imposés pendant la pandémie, qu'elle juge liberticides, destructeurs pour l'économie et sans impact réel, au motif que d'autres pays aux politiques moins strictes ont eu des bilans moins lourds que celui du Royaume-Uni.mhc-gmo/cla/dlm

  • Dissensions autour du lycée musulman Averroès, privé de subventions publiques

    La rupture du contrat liant le lycée musulman Averroès à l'Etat, actant la fin de son financement public, fait craindre à ses soutiens un "risque de stigmatisation" des musulmans, dans une période déjà tourmentée, quand ses détracteurs se félicitent d'un "signal clair" en faveur des "valeurs de la République".La décision, prise le 7 décembre par le préfet du Nord Georges-François Leclerc, était attendue depuis un récent avis favorable d'une commission consultative.Elle doit en principe prendre effet à la rentrée 2024, mais les dirigeants du lycée, basé à Lille, qui n'avaient pas été officiellement avisés lundi matin, avaient au préalable affirmé qu'ils déposeraient un recours devant la justice administrative."Ce n’est pas une surprise", a réagi lundi auprès de l'AFP le chef d'établissement, Eric Dufour, qui entend "démonter point par point, argument par argument" les griefs de la préfecture.Son établissement de 400 élèves, ouvert en 2003 avec le soutien de l'ex-UOIF (organisation devenue Musulmans de France et issue du mouvement égyptien des Frères musulmans), dans la foulée de l'interdiction du voile dans les lieux scolaires, était devenu en 2008 le premier lycée musulman à passer sous contrat. Il se classe depuis régulièrement parmi les meilleurs de la région.- "Homosexualité" -Pour justifier sa décision, le préfet du Nord met en avant, dans un courrier dont l'AFP a pris connaissance, des "manquements graves aux principes fondamentaux de la République".Se fondant sur des "rapports d'inspection", notamment de la chambre régionale des comptes, il souligne ainsi "l'absence de ressources" au centre de documentation et d'information de l'établissement "sur certaines thématiques comme la culture, les institutions sociales, les comportements culturels, les relations entre les sexes, l'homosexualité.""Les ouvrages religieux présents font également état de 30 ressources sur l'islam, les autres religions n'étant pas représentées", ajoute-t-il.Il vise également les enseignements d'un cours d'éthique musulmane, "fondés notamment" sur un ouvrage prônant la peine de mort pour apostasie ou la ségrégation des sexes.Le préfet critique, pour finir, une gestion opaque de l'établissement, en particulier ses financements en lien avec le Qatar."Enfin ! Ça fait plus de six ans que j'ai alerté l'Etat sur la présence du fait religieux dans cet établissement", a salué lundi auprès de l'AFP Xavier Bertrand, le président LR du conseil régional des Hauts-de-France, qui rechigne depuis 2019 de verser la subvention prévue dans le cadre du contrat.Lui voit dans cette décision "un signal clair" en faveur des valeurs républicaines. Quant au groupe RN au conseil régional, il a fait part dans un communiqué de son "soulagement non feint".- "On sent un stress" -Mais pour Roger Vicot, député socialiste du Nord, la décision est "tout à fait injuste". Il craint "un risque de stigmatisation au regard du vivre-ensemble à l’égard d’une population qui est inquiète" et souligne qu'une inspection de l'Education nationale en 2020 "n'a rien trouvé à redire.""C'est comme utiliser un bazooka pour tuer une mouche", renchérit Pierre Mathiot, directeur de Sciences Po Lille, parrain de l'établissement, qui juge la décision "totalement disproportionnée".Il défend plutôt pour Averroès "une période de probation" avec une surveillance accrue de l'établissement.Devant le lycée, les élèves sont dans l'expectative. "On sent un stress", affirme Imen (prénom d'emprunt), 17 ans, celui "d'avoir été jugés injustement"."Les profs risquent de perdre leur travail et on est inquiets même pour nous. Même si on est en terminale, ça nous concerne aussi, c’est notre lycée quoi ! Et ça concerne nos petits frères, petites soeurs, nos cousins", ajoute son ami Lina. Sans contrat, "le lycée ne tiendra pas longtemps".Contactés par l'AFP, les ministères de l'Education nationale et de l'Intérieur n'ont pas fait de commentaire.Averroès est l'un des deux seuls lycées musulmans sous contrat en France, avec le lycée Al-Kindi près de Lyon (174 élèves).lg-evg-zap/tes

  • « Les Grosses Têtes » : Bouvard et Ruquier enterrent la hache de guerre

    Voilà près de dix ans que l’ex-animateur de l’émission mythique envoyait des piques à son successeur. Mais l’heure du grand pardon a sonné…

  • Grippes aviaire: près de 1.000 phoques et otaries retrouvés morts au Brésil

    La grippe aviaire a tué au Brésil près d'un millier de phoques et otaries.

  • Coup de foudre avant Noël (TF1) : ce qu'il faut savoir sur le téléfilm

    Coup de foudre avant Noël (TF1) : ce qu'il faut savoir sur le téléfilm

  • « Astérix » : Aucun enchérisseur pour le dessin que la fille d’Uderzo estimait volé

    DOUTE - La vente aux enchères était organisée à Bruxelles (Belgique) dimanche après une décision du parquet

  • Au bout de Séville

    Si la France assiste à l’agonie de Lyon, l’Espagne vit la même chose avec…

  • Dirty Dancing : que devient Jennifer Grey, l'iconique Bébé de ce film culte ?

    Jennifer Grey a eu du mal à se remettre du succès de Dirty Dancing.

  • VOICI - Cauet réagit aux accusations de la chanteuse Yelle

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