Partage(s) - « Je suis tombée enceinte après 3 ans d’essais » : Elodie, 33 ans, nous raconte son « miracle de Noël »

Elodie témoigne de son miracle de Noël dans Partage(s)

Première cause d’infertilité chez la femme, le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) est malgré tout peu connu et représente bien d’autres spécificités. Elodie, 33 ans, souffre de ce syndrome depuis 5 ans. Elle a décidé de raconter pour Partage(s) quel miracle elle a vécu en 2022, un matin de Noël, malgré la maladie.

Elodie, 33 ans, est atteinte du Syndrome des Ovaires Polykystiques (SOPK), un trouble hormonal fréquent qui touche environ 5 à 10 % des femmes en âge de procréer. Souvent mal compris et encore peu connu, ce syndrome peut avoir des répercussions significatives sur la santé physique et émotionnelle des femmes concernées.

Le SOPK, se caractérise par une production excessive d'hormones androgènes (hormones dites « masculines »), un déséquilibre hormonal qui perturbe le fonctionnement normal des ovaires. Le terme « polykystiques » fait référence à la présence de multiples petits kystes dans les ovaires, visibles à l'échographie. Cependant, il est important de noter que toutes les femmes atteintes de SOPK n'ont pas nécessairement des ovaires présentant ces kystes.

Quels troubles accompagnent le SOPK ?

En conséquence du SOPK, plusieurs troubles et dérèglements peuvent apparaître. Dans certains cas, des pathologies peuvent même en découler. Les voici :

  • Risque accru de diabète de type 2 : En raison de la résistance à l'insuline, les femmes atteintes de SOPK ont un risque plus élevé de développer un diabète de type 2, surtout si elles sont en surpoids.

  • Maladies cardiovasculaires : La résistance à l'insuline, l'obésité et les déséquilibres hormonaux augmentent également le risque de maladies cardiovasculaires, comme l'hypertension et l'athérosclérose.

  • Troubles psychologiques : Le SOPK peut...

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