Yahoo may receive revenue from links on this page.

Balance

23 SEPTEMBRE - 22 OCTOBRE

Amour : La communication avec votre partenaire devient plus difficile et vous souffrez de cette relation tendue. Toutefois, les natifs les plus romantiques vivront une journée subtile en compagnie de leur partenaire. Les plus attachés aux plaisirs sensuels vivront des moments torrides.

Travail-Argent : Vous reviendrez sans doute sur un problème que vous n'aviez pas pu résoudre. Cette fois-ci, la solution vous apparaîtra clairement. Soucieux de perfection et un brin maniaque, vous aurez bien peu d'indulgence pour vos collègues.

Santé : Vitalité en dents de scie, vous avez besoin de vous changer les idées. Remettez-vous au sport, ou pratiquez une activité de détente.

23 november
Illustrations de Jo Ratcliffe
  • RSA, prime d’activité… les prestations de la CAF vont augmenter dès le 1er avril, voici leur nouveaux montants

    Bonne nouvelle pour les allocataires. Dès le 1er avril, plusieurs prestations sociales seront revalorisées de 1,7 %.

  • « C’est grâce aux États-Unis que les Français ne parlent pas allemand » : la porte-parole de Trump répond à Glucksmann

    Raphaël Glucksmann avait suggéré aux États-Unis de rendre la Statue de la Liberté offerte par la France en 1886.

  • En Allemagne, un paysan péruvien devant la justice face à un géant de l'énergie

    Dix ans après le début de son combat judiciaire, un paysan péruvien a fait face lundi devant la justice allemande au géant de l'énergie RWE, à qui il demande de réparer les effets du changement climatique dans les Andes.Pour le groupe qui exploite en Allemagne plusieurs mines de lignite, un minerai très polluant, il n'est "pas possible d'attribuer juridiquement les effets spécifiques d'un changement climatique à un seul émetteur".

  • Avec l’opposition de François Bayrou à un retour de l’âge de départ à 62 ans, le dossier des retraites enflamme à nouveau la scène politique

    En jugeant impossible un retour à l’âge légal de départ qui prévalait avant la dernière réforme, le Premier ministre a provoqué des tensions entre syndicats et gouvernement, mais également avec les oppositions. Y compris les socialistes, qui lui avaient donné une chance en février. Le débat sur l’utilité du « conclave » sur les retraites occasionne aussi des crispations avec Edouard Philippe.

  • « Intervilles » revient bientôt sur France 2 : Date, vachette (ou pas vachette), animateur… tout ce qu’on sait

    La chaîne a annoncé officiellement la date du retour de sa compétition culte à l’antenne. Et en a dévoilé une toute première « bande-annonce ».

  • La coloration la plus lumineuse à adopter après 50 ans pour tromper tout le monde sur votre véritable âge

    Cette coloration a-t-elle le pouvoir de vous rajeunir après 50 ans ? Les coiffeurs les plus en vogue de la capitale donnent leur avis.

  • "Un système quasi mafieux d'agresseurs" : cette humoriste menacée de mort après avoir dénoncé un défenseur des violeurs de Gisèle Pelicot

    Christine Berrou a publié une vidéo sur son compte Tiktok, le 16 mars. L'humoriste se film à la préfecture de police et...

  • La destruction d’un centre artistique à Pantin menace 400 artistes

    La commune menace de détruire l’un des derniers centres culturels à l’horizon 2028. Plus de 400 artistes sont menacés par la disparition du site.

  • Céline Mahuteau, victime de Le Scouarnec : « Une castration chimique pour qu’il ne continue pas à avoir des fantasmes sur moi »

    Au procès de Joël Le Scouarnec, Céline Mahuteau, l’une des plaignantes et victimes, violée à 7 ans par l’ex-chirurgien, a exigé sa castration chimique. Pour ELLE, elle revient sur ce qu’elle a vécu et raconte son combat.

  • Royaume-Uni: un pédocriminel jugé coupable de dizaines d'abus sexuels après une cavale de 27 ans

    Richard Burrows, arrêté en mars 2024 après une cavale longue de 27 ans, a été reconnu coupable ce lundi pour près de 100 cas d'abus sexuels sur mineurs.

  • Nouvelles frappes israéliennes au Liban et à Gaza

    L'armée israélienne a indiqué, lundi, avoir mené plusieurs frappes sur deux membres du Hezbollah dans le sud du Liban. Elle a également affirmé avoir visé des "combattants" dans la bande de Gaza, où des sources médicales confirment la mort de cinq Palestiniens. La situation demeure tendue dans le sud du Liban. L'armée israélienne a indiqué, lundi 17 mars, avoir mené des frappes aériennes sur deux membres du Hezbollah dans cette région du pays du Cèdre. Ces frappes sont intervenues alors qu’un fr

  • Plat mijoté : Cyril Lignac partage les secrets de sa blanquette de veau, à faire en moins de 20 minutes

    Familiale, bon marché et facile à réaliser, la blanquette de veau est le plat du dimanche par excellence. Suivez les conseils de Cyril Lignac pour un plat mijoté qui sort des sentiers battus.

  • Présidentielle : pourquoi Edouard Philippe n’est « pas là pour beurrer les tartines »

    En mobilisant ses troupes ce week-end, le candidat à la présidentielle rappelle qu’il est déjà tourné vers 2027, tout en marquant sa différence, quitte à sérieusement prendre ses distances avec François Bayrou. Un tour de chauffe à destination aussi des militants.

  • Deux militaires tués par un train à un passage à niveau dans le Pas-de-Calais

    Une violente collision, dont les causes et circonstances restent à éclaircir: deux militaires sont morts lundi matin quand un TER a percuté leur véhicule  à un passage à niveau près d'Arras."Une voiture a été percutée ce matin par un train au niveau d'un passage à niveau" à Bailleul-Sir-Berthoult, dans le Pas-de-Calais, a déclaré SNCF Réseau, confirmant une information du quotidien régional la Voix du Nord. La délégation à l'information et à la communication de la Défense (Dicod) a pour sa part confirmé "un accident ce matin (lundi, NDLR) occasionnant la mort de deux militaires"."Deux de nos militaires ont perdu la vie dans un tragique accident près d'Arras. Mes pensées vont à leurs familles, leurs frères d'armes, aux blessés ainsi qu'à tous ceux qui s'engagent pour défendre la Nation" a réagi sur X le président Emmanuel Macron.Une personne qui se trouvait dans le train a été légèrement blessée par des éclats de verre, a précisé SNCF Réseau. Cette personne et le conducteur du train, choqué, ont été pris en charge par les secours.Ce TER était toujours arrêté en début d'après-midi au milieu des champs, à quelque dizaines de mètres du passage à niveau dont les barrières étaient relevées, a constaté une journaliste de l'AFP sur place.Une riveraine agricultrice dit avoir entendu le train klaxonner puis freiner sans pouvoir s'arrêter à temps avant de percuter une voiture. Après avoir entendu les passagers crier, "on y a été" et "le moteur était sorti de la voiture, il y avait plein de trucs à terre tout partout", a décrit Marion Saudmont, 28 ans, qui a appelé les pompiers.- Circulation des TER perturbée -Selon SNCF Réseau, le train, qui reliait Hazebrouck (Nord) à Arras, transportait une centaine de passagers. La circulation a été interrompue dans les deux sens sur l'axe concerné entre Arras et Lens et les trains détournés par Douai et Ostricourt. Les voyageurs du train de la collision ont été transférés dans deux bus à destination d'Arras. Un homme était mort percuté par un train à ce même passage à niveau en juin dernier, selon la Voix du Nord, mais selon le maire de Bailleul-Sir-Berthoult, il s'agissait alors d'un suicide. Ce lundi, "c'est vraiment un accident. Pourquoi? Comment? On ne sait pas donc attendons le résultat de l'enquête", a commenté l'élu, Bernard Tournant. En 2023, 39 accidents impliquant un train ont été recensés en France, d'après la base de données des accidents corporels de la circulation. Ces accidents s'avèrent souvent graves, puisque 29 d'entre eux étaient mortels, soit 74%. La France compte 15.000 passages à niveau, dont 60% sont équipés de dispositifs automatiques (feux de signalisation et/ou barrières), selon la même source. SNCF Réseau, qui mène des campagnes de sensibilisation sur les bons comportements à adopter aux passages à niveau, rappelle que la distance de freinage d'un train est "10 fois supérieure à celle d'un véhicule: à 100 km/h, un train a besoin de 1 km pour s'arrêter".zl-bj-al/etb/dch   

  • OQTF: l'Algérie rejette la liste de Bruno Retailleau, le ministre annonce le déclenchement prochain d'une "riposte graduée"

    L'Algérie rejette et condamne la liste des Algériens à expulser, envoyée par Bruno Retailleau. Le ministre de l'Intérieur annonce qu'il va déclencher "la riposte graduée" contre Alger.

  • Croissance, emploi, inflation : cinq ans après le début du Covid, quelle est la facture économique de la pandémie ?

    Pendant près de deux ans, la pandémie de Covid-19 a mis les économies du monde entier à l’arrêt. Cinq ans plus tard, quelles traces la France garde-t-elle de cette période inédite ? Réponses avec l’économiste Eric Heyer, directeur du département analyse et prévision de l’OFCE.

  • Terres rares: face au monopole chinois, une usine de recyclage franco-japonaise en construction en France

    Pour échapper au monopole chinois sur les métaux stratégiques, la startup lyonnaise Carester a posé lundi la première pierre d'une usine de recyclage de terres rares à Lacq (sud-ouest), pour alimenter les filières de l'automobile ou des éoliennes, avec des financements japonais et français.Au total, le projet a reçu 216 millions d'euros de financements japonais et français.

  • Crédit immobilier : comment obtenir un taux réduit d’un point grâce à cette nouvelle offre

    Alors que les taux de crédit immobilier demeurent supérieurs à 3%, un promoteur et un courtier s’associent pour réduire votre charge d’intérêts. Attention, cette offre n’est valable que durant quelques semaines.

  • Nourrir les chiens et "volonté de Dieu": une journée à la lisière du front ukrainien

    Il est dix heures. Raïssa sort de chez elle, suivie de sa meute de chiens affamés dont les aboiements ne suffisent pas à couvrir les détonations d’artillerie. "Tous les jours, je me lève, je prépare la nourriture pour les animaux, puis je pars au boulot", dit-elle, arpentant les rues délabrées, un sac en plastique rempli de morceaux de poulet à la main. Raïssa, 65 ans, "tamponne des feuilles" pour le compte de l'administration de sa petite ville de Bilytske, située à 15 km au nord de Pokrovsk, une des zones les plus actives du front, dans l'est de l'Ukraine. C’est la dernière agglomération avant les combats. A quelques kilomètres plus au sud seulement, les drones russes bourdonnent et les carcasses de voitures au bord des routes illustrent le danger à s'y aventurer. Que pense Raïssa de la trêve de 30 jours esquissée mardi par les États-Unis et l’Ukraine, mais sur laquelle Vladimir Poutine a émis des réserves ? "Je n’y crois pas", tranche-t-elle. "Rien de bon n’arrivera. Les bombardements sont sans fin", dit Raïssa, qui "ne dort plus la nuit" mais a néanmoins décidé de rester. Pour elle, rien n’est plus important que ces chiens, ramenés du front par des soldats et pour lesquels elle dépense la plus grande partie de son salaire.  Raïssa ne partira que s'ils périssaient dans les bombardements. - Déterminés à rester -Vers 11H00, elle est au travail et manie son tampon. Son voisin Sergueï se rend devant la mairie détruite pour puiser quelques litres d’eau potable. Nostalgique, il passe par son ancienne école, rasée par les missiles russes en juin. "On voit les oiseaux", dit-il, les yeux tournés vers un trou béant dans le plafond d'une salle de classe."Quand on était jeunes avec mon ami, on voulait que l’école soit détruite", dit-il avant un silence. "C’est un rêve devenu réalité... en quelque sorte", ironise-t-il, caressant sa longue barbe blanche. Dans les rues clairsemées de Bilytske, où vivaient 8.000 personnes avant la guerre, on croise avant tout des soldats et des retraités qui refusent de partir.Sergueï est revenu ici depuis le Portugal pour s’occuper de sa mère, déterminée à rester. A midi, c'est l'heure de la retrouver à l'église, où elle entame le carême. Là, popes et veuves de mineurs de fond de ce bassin houiller prennent un repas frugal de pommes de terre après avoir dit le bénédicité. Plongés dans l'odeur d’encens, les fidèles y sont persuadés d'être sous protection divine, qu'importent les détonations. "Dieu dit que le monde ici-bas est mauvais", dit un prêtre, le père Serguiï. "S’il y a la guerre, c’est parce que les gens ne croient plus !", tempête-t-il.- Mourir ici -A côté, le père Ivan, 56 ans, soupire car la plupart des paroissiens ont fui la ville bombardée. Seuls "les plus solides" sont restés, dit-il, comparant la petite église à "l'arche de Noé"."Les gens essaient de s’accrocher à ce qu’ils ont mis une vie à construire", dit le religieux pour expliquer la présence de ces civils dans une zone de guerre. "Nous avons travaillé dur toute notre vie, et en fin de compte, tout cela s’est avéré être sans grande importance".Khrystyna, une fidèle qui débarrasse la table à manger de l’église, dit être restée ici malgré la "peur" des explosions et le départ à Kiev de sa fille avec son nouveau-né. Cette ancienne trieuse de charbon de 64 ans s'occupe de sa maison et "espère" que sa fille reviendra. "Je ne pense pas qu’elle veuille rentrer", admet-elle tristement. Quant au risque de se retrouver sous le contrôle de la Russie ? "Nous n’avons pas le droit d’avoir peur, c’est la volonté de Dieu", esquive Khrystyna. "Si je dois mourir ici, alors je mourrai ici".Vers 16H, les cérémonies religieuses s'achèvent, les fidèles retournent chez eux. La lumière du jour décline. Raïssa quitte son travail où elle n’accueille plus grand monde. Elle retourne nourrir ses chiens au son des obus.fv/alf/rco/pt/lpt

  • Mali: au moins une dizaine de civils tués dans une frappe de l'armée à Ejdeïr, région de Tombouctou

    Au Mali, une frappe aérienne de l'armée malienne a fait au moins une dizaine de morts, dimanche 16 mars, à Ejdeïr, près de Lerneb, région de Tombouctou, non loin de la frontière avec la Mauritanie. Selon les sources locales jointes par RFI, au moins une dizaine de personnes ont été tuées et plusieurs ont été blessées, dont des femmes. Certaines sources indiquent un bilan plus élevé, d'une vingtaine de personnes tuées. Selon ces sources, il s'agissait de commerçants ou d'éleveurs civils.La frappe