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Lion

23 JUILLET - 22 AOÛT

Amour : Le froid semble s'installer dans vos relations affectives. Votre mauvaise humeur pourrait y être pour quelque chose. Il faut vraiment que vous changiez d'attitude si vous voulez améliorer l'ambiance de votre vie de famille. Célibataire, la rencontre de l'âme sœur ne semble pas faire partie vos priorités.

Travail-Argent : Vous n'aurez guère la tête au travail. Vous n'arrivez pas à trouver la motivation nécessaire. Parfois, il y a des jours avec et des jours sans, celui-ci est un sans. Inutile d'insister. Un projet personnel retient toute votre attention. De plus il est possible que vous ayez à régler quelques soucis matériels.

Santé : Risques de douleurs lombaires. Votre nervosité y est peut-être pour quelque chose, mais vous passez probablement trop de temps assis derrière un bureau ou dans votre voiture. Rien de tel que le mouvement pour faire disparaître ces douleurs. Ne forcez pas mais faites des étirements par exemple.

15 november
Illustrations de Jo Ratcliffe
  • L'Uruguay fait cavalier seul en Amérique latine en ne fêtant pas Noël officiellement

    En ce 25 décembre, des millions de personnes célèbrent Noël dans le monde. Mais en Uruguay, c’est le jour des familles qu’on fête. En 1919, une loi de sécularisation a supprimé les jours fériés religieux du calendrier. Une originalité dans une Amérique latine très catholique. Avec notre correspondante à Montevideo, Lila OlkinuoraCela fait 105 ans que ça dure en Uruguay. Le 25 décembre, les rues des villes sont parées de guirlandes. Les Uruguayens se réunissent en famille et le père Noël apporte

  • Etats-Unis : Une agence de lutte contre la désinformation étrangère met la clé sous la porte

    C’EST FINI - Le département d’Etat américain a annoncé la fermeture du Global Engagement Center (GEC), une agence dédiée à la lutte contre la désinformation, après que le Congrès a supprimé son financement

  • TGV : Une dizaine de trains retardés après un « accident de personne » en Seine-et-Marne

    SNCF - Un « accident de personne » en Seine-et-Marne a causé des retards allant jusqu’à cinq heures sur une dizaine de TGV Sud-Est dans la nuit de mardi à mercredi

  • Le Mali change les noms de lieux de Bamako faisant référence à la France ou à la Cédéao

    Après le Niger et le Burkina Faso, la junte malienne a procédé ce mardi 24 décembre à Bamako au changement de noms de rues et de monuments dont plusieurs évoquaient la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao) ou l'ancienne puissance coloniale française. Avec notre correspondant dans la région, Serge DanielLa décision avait été diffusée la semaine dernière, mercredi 18 décembre, dans un décret du chef de la junte malienne. À Bamako, la cérémonie officiellement de changemen

  • Etats-Unis : Victime brûlée vive, passé du suspect… Ce que l’on sait du drame survenu dans le métro de New York

    ENQUÊTE - Sebastian Zapeta-Calil, un migrant sans papiers déjà expulsé en 2018, est accusé d’avoir incendié une femme dans une rame de métro à New York, provoquant sa mort

  • Notre-Dame : Premières messes de Noël… « un sentiment d’espoir et de joie » pour les fidèles

    CÉLÉBRATIONS - Pour la première fois depuis l’incendie de 2019, Notre-Dame de Paris a accueilli les messes de Noël mardi, attirant une foule nombreuse

  • Météo de ce mercredi de Noël : de la douceur, mais attention aux brouillards

    Ce Noël 2025 est dans la lignée des précédents, avec de la douceur, mais aussi beaucoup de nuages. Attention aux brouillards qui sont très nombreux le matin.

  • Haïti: deux journalistes et un policier tués par des gangs lors de la réouverture d'un hôpital à Port-au-Prince

    Une fusillade provoquée par des gangs s'est produite mardi 24 décembre lors de la cérémonie de réouverture du principal hôpital de la capitale haïtienne, Port-au-Prince, tuant deux journalistes et un policier, faisant également plusieurs blessés. Avec notre correspondant à Port-au-Prince, Peterson LuxamaÀ Port-au-Prince, la nouvelle tentative de réouverture de l’Hôpital de l’Université d’État d’Haïti (HUEH) a viré au drame ce mardi 24 décembre 2024. Sept journalistes de médias en ligne ont été b

  • Syrie: le nouveau pouvoir annonce un accord avec les groupes armés pour leur dissolution

    Les nouvelles autorités syriennes à Damas ont annoncé mardi un accord avec "tous les groupes armés" pour leur dissolution, précisant qu'ils allaient être intégrés au ministère de la Défense."Une réunion des chefs des groupes" armés avec le nouveau dirigeant de la Syrie Ahmad al-Chareh "a abouti à un accord sur la dissolution de tous les groupes et leur intégration sous la tutelle du ministère de la Défense", ont indiqué les nouvelles autorités sur leur compte Telegram.

  • Haïti : Fusillade lors de la réouverture d’un hôpital… Deux journalistes tués

    GANGS - Une fusillade a éclaté mardi lors de la réouverture de l’Hôpital de l’Université d’Etat de Haïti, fermé depuis le 29 février. Deux journalistes ont été tués

  • À l’aéroport de Nice, un SDF réussit à s’introduire sur la piste... par le tapis à bagages

    L’homme de 23 ans a été interpellé sur le tarmac. Il a dit vouloir s’introduire dans la soute d’un avion pour aller en Tunisie.

  • Haïti: fusillade lors de la réouverture d'un hôpital de la capitale, au moins deux journalistes tués

    Une fusillade provoquée par des gangs s'est produite ce mardi lors de la cérémonie de réouverture du principal hôpital de la capitale haïtienne Port-au-Prince. Des journalistes figurent parmi les victimes.

  • Laura Felpin : L'humoriste opérée pour un mal qui touche 15% de la population, révélation en toute discrétion sur sa santé

    Laura Felpin est à retrouver dès ce mercredi 25 décembre au cinéma dans la comédie musicale "Joli joli". Ce mardi, nos confrères...

  • Panama: manifestation anti-Trump après ses menaces de reprendre le contrôle du canal

    Une centaine de personnes ont manifesté mardi 24 décembre devant l'ambassade des États-Unis au Panama après la menace du président élu Donald Trump de reprendre le contrôle du canal interocéanique si ce dernier ne réduisait pas le prix des péages pour les navires américains. Certains manifestants portaient des pancartes « Donald Trump, ennemi public du Panama ». « Trump, animal, pas touche au canal », ont scandé les manifestants en colère, qui ont brûlé un portrait du président élu et de l'ambas

  • George Clooney : Ses jumeaux de 7 ans ont hérité d’un rituel de Noël très particulier de leur maman Amal

    Le monde entier fête Noël ce mardi 24 décembre et George Clooney, qui sera entouré de son épouse, Amal, et de leurs deux...

  • A Moscou, des produits occidentaux de luxe bien présents malgré le conflit ukrainien

    Voitures de sport, bijoux dorés, robes raffinées: à Moscou, les produits occidentaux de luxe restent bien présents à la vente dans les nombreuses boutiques du centre-ville, une réalité qui contraste avec les annonces de départ faites en 2022 en représailles à l'assaut russe contre l'Ukraine."Je ne vois aucun changement particulier. Certaines marques sont parties, comme Chanel, Dior ou Hermès, mais d'autres sont restées. Brunello Cucinelli, par exemple", affirme Natalia, une dentiste de 51 ans, déambulant à travers le prestigieux centre commercial Goum, à quelques mètres des murs du Kremlin sur la place Rouge."Je m'en fiche des marques qui sont parties. Ils pensaient nous isoler? C'est ridicule", balaye Sergueï, un élégant retraité de 61 ans, à la sortie d'une boutique.Dans les rayons, il assure trouver ce qu'il achetait avant février 2022."Les marques que j'aime sont toujours là. Je commandais mes costumes chez Isaia, je peux toujours le faire", se réjouit-il.- "Pure hypocrisie" -Après le déclenchement de l'offensive russe contre son voisin ukrainien, plusieurs marques et groupes de luxe occidentaux, comme Chanel, Hermès, LVMH et Kering, avaient annoncé vouloir quitter le marché russe. Question d'image à l'international.Mais presque trois ans plus tard, leurs logos connus de tous ornent toujours les boutiques du centre de Moscou, mégapole bouillonnante de quelque 13 millions d'habitants.Dans les faits, plusieurs de ces maisons de luxe étrangères ont gardé leurs locaux prestigieux - désormais fermés - à deux pas du Kremlin. Probablement dans l'espoir d'y revenir lorsque le conflit sera terminé.Rien n'interdit que leurs produits se retrouvent sur le marché russe."Leur départ annoncé, c'est de la pure hypocrisie", estime sous le couvert de l'anonymat un homme d'affaires français, qui continue de vendre ses produits de luxe dans la capitale russe."Même si leurs boutiques sont officiellement fermées, ces marques continuent à vendre leurs produits aux Russes via des +marketplaces+", c'est-à-dire des sites de vente en ligne, ainsi que des intermédiaires comme les grands magasins, relève-t-il.A quelques centaines de mètres du Goum, dans le centre commercial luxueux du Tsoum, "le choix est plus petit qu'avant, mais tout est possible", assure Elena, 38 ans, responsable en marketing d'une marque de sous-vêtements."Les marques de luxe sont toujours là. Et nos clients réguliers aussi. La demande n'a pas diminué", abonde une vendeuse du Tsoum, devant un comptoir de vêtements Burberry.L'application du Tsoum permet même d'acheter en ligne des vêtements de Prada, Saint Laurent ou Alexander McQueen, qui ont officiellement quitté la Russie, à "des prix plus compétitifs qu'à Dubaï", selon une publicité en ligne. - Allers-retours à Dubaï -L'émirat est devenu depuis 2022 la destination de choix des Russes fortunés pour passer leurs vacances et faire leurs emplettes."A Dubaï, les ventes des produits de luxe ont explosé" en trois ans, affirme l'homme d'affaires français interrogé par l'AFP.Les Russes très aisés vont aussi faire du shopping de luxe en Turquie et au Kazakhstan, pays avec lesquels les connections aériennes sont nombreuses.Mais les chiffres de ventes des produits de luxe dans ces pays sont impossibles à vérifier, la plupart des entreprises ne détaillant pas leur chiffre d'affaires ni par pays, ni par marque.Ce phénomène fait les bonnes affaires des "buyers", un terme qui désigne "ceux qui voyagent à l'étranger pour acheter des vêtements et objets de luxe sur commande", explique Elena, la responsable en marketing."Nous nous sommes vite adaptés", se satisfait-elle.Le terme de "buyer" fait écho aux années 1990, quand les marques occidentales n'étaient pas présentes dans la Russie post-soviétique.Ces ingénieux fournisseurs faisaient alors des allers-retours entre Moscou et l'Europe de l'Ouest pour ramener des vêtements de luxe à leurs riches clients. Certains "buyers" ont même directement "des contrats avec les grandes boutiques ou des centres commerciaux" à l'étranger, précise Andreï, 52 ans, un styliste moscovite qui s'occupe d'une clientèle haut de gamme. Selon un schéma bien rodé, "ils partent à Milan, Paris ou Londres et y commandent des meubles, de la vaisselle, de la joaillerie ou des vêtements", avant de les rapporter et revendre en Russie, détaille-t-il.Un signe, d'après lui, que "les marques veulent continuer à travailler" avec les clients russes. Au point d'envisager un jour leur retour officiel en Russie? Selon Andreï, "ce n'est qu'une question de temps".bur/er

  • Ukraine: un mort et 14 blessés dans une frappe russe sur Kryvyï Rig, ville natale de Zelensky

    Une frappe russe a tué au moins une personne à Kryvyï Rig, la ville natale de Volodymyr Zelensky située à environ 80 kilomètres du front. 14 blessés sont à déplorer.

  • Adrien Brody a tellement perdu de poids pour « Le Pianiste » qu’il a développé un trouble de l’alimentation

    À l’affiche de « The Brutalist », il est revenu sur la préparation de son rôle dans le film multirécompensé de Roman Polanski et pour lequel il a reçu l’Oscar du meilleur acteur.

  • Thaïlande: après le tsunami, 20 ans pour reconstruire une école et sa vie

    Après que le tsunami le plus meurtrier de l'histoire a emporté sa fille unique en Thaïlande, Elisabeth Zana a pensé au suicide: c'est au chevet d'une école alors décrépie, près des lieux de la tragédie, que sa vie a repris sens.Devant une plage de l'île de Phi Phi (sud), dans un décor digne d'une carte postale, la Française de 79 ans repense au "chaos qu'on ne peut pas oublier", qui l'a saisie en février 2005, au même endroit."Il y avait des montagnes de gravats. On marchait en se disant qu'il y avait peut-être des cadavres là-dessous. Et peut-être ma fille", se remémore-t-elle auprès de l'AFP.Le lendemain de Noël, le 26 décembre 2004, un séisme de magnitude 9,1, au fond de l'océan Indien, déclenche un tsunami gigantesque qui fait environ 230.000 morts dans une dizaine de pays d'Asie du Sud et du Sud-Est.En Thaïlande, plus de 8.300 personnes ont été tuées, dont plus de 2.000 étrangers venus pour la plupart profiter des plages du Sud.Sa fille Natacha Zana, alors âgée de 35 ans, se trouvait sur Phi Phi au moment où s'est abattu le mur d'eau de plusieurs mètres de haut.Les recherches des autorités pour retrouver son corps ont duré neuf mois, entrecoupés d'épisodes de "désarroi total" pour Mme Zana et son mari."Pour nous qui n'avons pas d'autres enfants... Nos vies étaient terminées. La tentation du suicide a été très forte" pendant l'attente, explique-t-elle."On ne pouvait pas passer à l'acte tant qu'on ne l'avait pas retrouvée", assure-t-elle.- Mémorial délabré -Aujourd'hui, il ne reste qu'un mémorial laissé à l'abandon sur cette île symbole du tourisme de masse, où le béton des constructions destinées aux visiteurs a colmaté les cicatrices du tsunami.Les locaux n'aiment pas évoquer le traumatisme de la catastrophe, et certaines familles d'étrangers disparus préfèrent éviter l'endroit, a remarqué Elisabeth Zana, qui a pris le chemin opposé pour surmonter son deuil.Après l'identification du corps de sa fille, elle s'est installée dans la province de Krabi, non loin de Phi Phi mais sur le continent, pour s'occuper de son association nouvellement créée, d'aide aux enfants affectés par le tsunami - sans parler thaï, ni trop connaître le royaume.L'ancienne professeure de danse a contribué à sauver une école publique du coin, promise à la fermeture car délabrée, à travers des dons de matériel, le financement d'infrastructures, ou la mise en place d'un système de parrainage à destination des écoliers les plus défavorisés.Des drapeaux français et des terrains de pétanque dans la cour font flotter au-dessus de l'école, qui accueille environ 180 enfants de 3 à 11 ans, le souvenir de sa fille unique, avec laquelle elle partageait une relation fusionnelle.- Danse et musique -Pour les commémorations du 20e anniversaire du tsunami, des élèves préparent un concert de musique thaïlandaise et une représentation de "nora", une danse traditionnelle.Les cours de musique sont rares dans le système éducatif public thaïlandais, réputé pour son manque de moyens et ses inégalités au détriment des établissement ruraux."Beaucoup d'écoles sont jalouses", lance dans un sourire Chanita Jitruk, 56 ans, professeure d'anglais, qui accompagne l'action de Mme Zana depuis le quasi-début. A son arrivée en 2005, l'établissement comptait quatre fois moins d'enfants.Aujourd'hui, la moitié des enfants de l'école profite d'une aide mensuelle de 1.000 bahts (27 euros) qui sert surtout à payer les uniformes obligatoires, qui représentent un coût élevé pour les familles."Les bourses sont importantes pour améliorer notre éducation", explique l'une des bénéficiaires, Korawi Kaesuk, dix ans.La fillette, surnommée Pam, rêve de devenir infirmière, pour à son tour, "aider les gens", assure-t-elle.Les succès de l'école ont remis du baume au cœur d'Elisabeth Zana, qui raconte dans un livre sorti récemment les 20 ans de son périple caritatif: "Peu à peu, une certaine paix s'est installée. Mais il a fallu beaucoup de temps."ah/lpa

  • Felipe VI d'Espagne appelle à "tirer les leçons nécessaires" après les inondations qui ont tué 231 personnes

    Le roi d'Espagne Felipe VI s'est exprimé ce mardi sur les inondations qui ont touché le sud du pays au mois d'octobre et qui ont causé la mort d'au moins 231 personnes.