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Poissons

19 FÉVRIER - 20 MARS

Amour : Vous vous inquiétez beaucoup en ce moment : votre vie sentimentale est au point mort et ça vous effraie. Prenez votre mal en patience, cette situation devrait se débloquer plus rapidement que ce que vous pensez.

Travail-Argent : Entourez-vous des bonnes personnes si vous êtes sur un nouveau projet. Certains sont prêts à tout pour vous faire tomber. Vous devrez être prudent et ne pas foncer tête baissée comme à votre habitude.

Santé : Vous avez besoin de repos.

20 may
Illustrations de Jo Ratcliffe
  • TOUT COMPRENDRE. Blindés dans la rue, loi martiale... La Corée du Sud face à un chaos institutionnel

    Le président sud-coréen Yoon Suk-yeol a décrété la loi martiale ce mardi, avant d'être largement bloqué par les députés. L'opposition a estimé "qu'il s'agit essentiellement d'un coup d'État."

  • Croissance, déficit, taux d'emprunt: la France joue gros avec la chute du gouvernement

    Croissance affaiblie, assainissement budgétaire ralenti, incertitude accrue... La chute probable du gouvernement sans budget pour 2025 pénalisera la France, estiment des économistes, sans forcément la plonger dans "la tempête" redoutée par le gouvernement. - Déficit malmené -Loi spéciale ou ordonnance, la France dispose de plusieurs moyens d'éviter une paralysie qui empêcherait les fonctionnaires d'être payés par exemple. Mais qu'un nouveau Premier ministre fasse adopter "un budget édulcoré" incluant des concessions ou que le budget 2024 soit reconduit à l'identique, le pays raterait son objectif de réduire son déficit public à 5% du PIB l'an prochain, prévoit Maxime Darmet, économiste chez Allianz.  Un budget 2024 reconduit se traduisant par un gel des dépenses de l'Etat en valeur représenterait entre 15 et 18 milliards d'euros d'économies, explique Mathieu Plane, économiste à l'OFCE. Soit un niveau proche de l'effort prévu dans le projet de loi de finances (PLF) initial pour 2025. Les dépenses sociales, indexées automatiquement sur l'inflation, seraient cependant en hausse tandis que l'Etat devrait renoncer aux hausses d'impôts - au moins 20 milliards - qu'il envisageait, comme la surtaxe sur les très hauts revenus ou les bénéfices des grandes entreprises. La banque Natixis estime que dans une telle hypothèse, le déficit atteindrait 5,3% du PIB alors que Paris est déjà épinglé par Bruxelles pour son déficit public excessif.  - Gagnants et perdants -En cas de budget technique, les retraités verraient leur retraite revalorisée à hauteur de l'inflation au 1er janvier, alors que le gouvernement ne prévoyait de le faire totalement que pour les pensions inférieures au Smic, avec un décalage. La menace d'un poids de l'impôt sur le revenu plus important est aussi brandie par le gouvernement."Près de 18 millions de Français verront leur impôt sur le revenu augmenter, d'autres en paieront pour la première fois parce qu'on n'aura pas pu inscrire dans la loi de finances la réindexation qui est prévue (...)  pour le barème des tranches d'impôt, c'est inéluctable", a affirmé le Premier ministre Michel Barnier, invité par France 2 et TF1 mardi soir.Ce scénario est cependant loin d'être le plus probable pour le directeur des études économiques à l'IESEG School of Management Eric Dor, joint mardi soir par l'AFP.Un budget pour 2025 voté ultérieurement, au cours de l'année 2025, "contiendra nécessairement cette clause puisque c'est l'habitude de la mettre", souligne-t-il.Les collectivités territoriales, dont la dotation versée par l'Etat risquerait d'être gelée, pourraient figurer parmi les perdants, souligne Maxime Darmet, qui y voit un risque pour le fonctionnement des services publics. Certaines pourraient compenser le manque à gagner en relevant les taxes locales, notamment la taxe foncière, selon lui. - Croissance faible - La baisse des dépenses pèsera sur la croissance, à des degrés divers selon les scénarios."Avec un budget reconduit dans les termes de 2024, et notamment sur la partie dépenses, on aurait un retournement de ce qui a permis, pour l'instant, de maintenir un peu de croissance en France", à savoir "l'investissement public" dans une économie qui en est très dépendante, détaille Charles-Henri Colombier, directeur de la conjoncture chez Rexecode. La pression fiscale en hausse sur les revenus des ménages ne serait pas non plus de nature à encourager la consommation.  A cela s'ajouterait une accentuation de l'effet négatif d'une incertitude politique - jusqu'ici évaluée à 0,2 point de PIB pour 2025 par l'OFCE - qui conduirait ménages comme entreprises à un attentisme prolongé. M. Colombier évoque aussi la défiance grandissante des investisseurs étrangers. Et qui dit moins de croissance, dit moins de rentrées fiscales, compliquant l'équation budgétaire.  - Secousses financières -"Les conséquences de la censure pourraient nous coûter la confiance de nos créanciers et de nos voisins", a mis en garde mardi le président du Medef Patrick Martin, première organisation patronale.Rétifs à l'incertitude, les marchés financiers connaissent déjà des secousses. Après que Michel Barnier a engagé la responsabilité de son gouvernement, le taux de l'emprunt public français à dix ans a immédiatement grimpé, passant en quelques heures de 2,86% à 2,92%.Le "spread", écart entre les taux de la France et de l'Allemagne, baromètre de la confiance des investisseurs, a lui aussi connu lundi une hausse rapide, à 0,88 point."L'impact de cette instabilité politique vous la verrez immédiatement dans les taux d’intérêt qui nous étranglent", a déclaré mardi soir Michel Barnier, évoquant "des sommes gigantesques pour payer les intérêts à des financiers, à des fonds d'investissement chinois, japonais ou américains".Dans son malheur, la France a un allié de poids: la Banque centrale européenne. Elle a engagé en juin une politique de baisse des taux, permise par le recul de l'inflation en zone euro, détendant la pression sur les taux d’intérêt des emprunts d'État. Reste que "si rien ne bouge dans les prochains mois, une lassitude pourrait s'installer sur les marchés, et alors, tout pourrait très vite s'emballer", prévient Aurélien Buffault, gérant obligataire de Delubac AM.mpa-fcz-bp/uh/eb

  • Géorgie : sixième nuit consécutive de mobilisation proeuropéenne à Tbilissi

    La police géorgienne a utilisé mardi soir des canons à eau et des gaz lacrymogènes pour disperser des manifestants qui s'étaient à nouveau réunis dans la capitale, pour la sixième nuit consécutive, malgré les menaces du Premier ministre qui accuse ses rivaux politiques et des ONG d'avoir "orchestré les violences".

  • L’influenceuse Léna Situations a sa statue au musée Grévin, deuxième personnalité d’Internet à faire son entrée

    Lucas Hauchard, alias Squeezie, était le premier influenceur à entrer au musée Grévin. Léna Mahfouf lui succède.

  • France: menacé de censure, Michel Barnier veut croire qu'une sortie de crise est «possible»

    Un « réflexe de responsabilité » des députés est « possible » pour éviter la censure de l'exécutif, a jugé mardi 3 décembre le Premier ministre français Michel Barnier dont le gouvernement pourrait tomber le lendemain par les voix jointes de la gauche et de l'extrême droite. « Je pense que c’est possible qu’il y ait ce réflexe de responsabilité ou, au-delà des différences politiques, des divergences, des contradictions normales dans une démocratie, on se dise qu’il y a un intérêt supérieur », a-

  • Paris : Devenu youtubeur, le « dépeceur de Montauban » condamné pour des vidéos antisémites

    Haine - Germain Gaiffe, déjà condamné pour assassinat, tenait une chaîne YouTube où il publiait des vidéos haineuses

  • “Qu’avec Marine Le Pen…” : Michel Barnier bien embêté par cette remarque en direct d’Anne-Sophie Lapix

    Mardi 3 décembre 2024, Michel Barnier était l’invité d'Anne-Sophie Lapix et Gilles Bouleau sur France 2 et TF1. Au cours de son entretien, la journaliste lui a fait une remarque au sujet de Marine Le Pen.

  • PSG: le CUP hausse le ton sur le dossier du Parc des Princes, avec un message ferme à Al-Khelaïfi et Hidalgo

    Dans un communiqué, le Collectif Ultras Paris indique qu'il ne veut pas voir le PSG quitter le Parc des Princes et appelle chaque partie à trouver un terrain d'entente.

  • « Certains ont la taille d’une voiture » : Des drones mystérieux harcèlent un comté du New Jersey, le FBI enquête

    Depuis plus d’une quinzaine de jours, les habitants du comté de Morris, dans le New Jersey sont visités chaque nuit par des dizaines, voire des centaines d’engins d’origine inconnus comme en témoigne plusieurs vidéos. Dans le même temps, en Grande-Bretagne, des bases militaires font face au même problème.

  • Pourquoi les adolescents sont-ils toujours fatigués ?

    Cela n'échappe à personne : rare sont les adolescents qui semblent en pleine forme. Mais quelles sont les raisons d'une telle fatigue quotidienne ? Explications.

  • PSG: Al-Khelaïfi assure "à 100%" qu'il ne virera pas Luis Enrique, même en cas d'élimination prématurée en Ligue des champions

    Nasser Al-Khelaïfi a exprimé mardi son sentiment sur les problèmes actuels du PSG. Le président du club a confirmé la volonté de s’inscrire dans un projet durable avec un effectif de qualité et le duo Luis Campos-Luis Enrique pour le diriger.

  • “Pas le sujet” : Yann Barthès se fait reprendre par un invité, un frisson de gêne parcourt le plateau de Quotidien

    Dans l'émission Quotidien, Yann Barthès a posé une question au sujet de Michel Barnier et de la motion de censure à l'un de ses invités. Mais la réponse de ce dernier a provoqué un petit malaise sur le plateau.

  • France : l'extrême droite prête à faire chuter le gouvernement

    Dans un entretien télévisé diffusé mardi soir, le Premier ministre en sursis a défendu sa stratégie budgétaire et dit espérer un sursaut des députés avant le vote qui paraît pourtant joué d'avance.View on euronews

  • Lyon : Un policier sera jugé devant une cour criminelle pour avoir truqué son enquête

    Justice - Le policier avait menti en affirmant qu’un suspect avait été formellement identifié par une collègue

  • « Wicked » : Le phénomène de Broadway, prêt à envahir les écrans français

    Le premier volet de l’adaptation cinématographique de la célèbre comédie musicale débarque au cinéma le 4 décembre. On vous explique le phénomène.

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    Depuis le 20 septembre dernier, Marie-Anne Chazel joue "Parle-moi d'amour" avec Michel Leeb au théâtre de La Michodière,...

  • Loi martiale en Corée du Sud : le président Yoon lève finalement la mesure quelques heures après l’avoir instauré

    Le chef de l’État sud-coréen a toutefois attendu que ses ministres le rejoignent pour officiellement acter la fin de cette séquence politique surprenante à Séoul.

  • Coupe de France: le TFC et Revel proposent leur aide à l'Union Saint-Jean, qui doit accueillir Monaco

    Opposé à l'AS Monaco en 32es de finale de la Coupe de France, le club de l'Union Saint-Jean (R1) a été contacté par le TFC pour discuter de l'éventualité de jouer au Stadium de Toulouse, mais aussi par le club de Revel, qui est passé par cette situation la saison passée.

  • Barnier compte sur un "réflexe de responsabilité" des députés pour ne pas le censurer

    Michel Barnier a jugé "possible" que les députés lors du vote de la motion de censure mercredi, promis par la gauche et l'extrême droite, aient un "réflexe de responsabilité", tout en écartant la possibilité d'être renommé à Matignon si son gouvernement tombait."Je pense que c'est possible qu'il y ait ce réflexe de responsabilité où, au-delà des différences politiques, des divergences, des contradictions normales dans une démocratie, on se dise qu'il y a un intérêt supérieur", a déclaré le Premier ministre lors d'un entretien depuis son bureau à Matignon sur TF1 et France 2."Je pense que l'intérêt supérieur du pays, le bien commun, l'intérêt national, ça veut dire quelque chose", a-t-il ajouté.Michel Barnier a cependant écarté la possibilité d'être renommé à Matignon s'il était censuré, s'interrogeant sur "le sens" d'un tel scénario."J'ai envie de servir. Je vous ai dit que c'est un grand honneur. Mais qu'est-ce que cela (une renomination comme Premier ministre, ndlr) a comme sens?", a-t-il demandé. "Si je tombe demain, après-demain, on me retrouve là comme si de rien n'était, comme si rien ne s'était passé ?".Aujourd'hui, "ce n'est pas moi qui suis en cause", "cela dépasse très largement ma seule condition", a ajouté le chef du gouvernement qui avait dit en arrivant avoir "découvert" une situation budgétaire difficile, avec un déficit qui devrait atteindre 6,1% du PIB en 2024.Michel Barnier a mis en garde contre les conséquences d'une éventuelle censure et d'un rejet du projet de budget de la Sécurité sociale. "Dix-huit millions" de Français "verront leur impôt sur le revenu augmenter" si le budget 2025 n'est pas adopté, a-t-il assuré."L'impact de cette instabilité politique, vous la verrez immédiatement dans les taux d'intérêt", a-t-il complété.Michel Barnier a récusé avoir été "dans du marchandage" ou "du chantage" avec le Rassemblement national mais accusé sa cheffe de file Marine Le Pen d'avoir "essayé d'entrer dans une sorte de surenchère"."Il y a eu une écoute", "une sorte de négociation", a-t-il ajouté. "J'ai toujours dit que ce texte (le budget) était perfectible" et "on a écouté tout le monde et on a donné des avancées, des progrès sur beaucoup de points", a-t-il fait valoir.arz-are/sde/dch   

  • Deux résidents d'une maison de retraite décédés après avoir ingéré un produit ménager

    Deux pensionnaires d'un Ehpad de Grâne, dans la Drôme, âgés de plus de 85 ans, sont décédés après avoir ingéré du liquide de rinçage de lave-vaisselle, a indiqué le parquet. Trois hommes âgés de plus de 85 ans, résidents à l'Ehpad la Maison des Buis ont ingéré ce produit samedi dans des circonstances qui restent à déterminer, a indiqué à l'AFP le procureur de Valence Laurent de Caigny.