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Poissons

19 FÉVRIER - 20 MARS

Amour : Pensez à secouer vos vieilles habitudes. Apportez du renouveau dans votre vie de couple. L'occasion vous sera offerte de renforcer vos liens. Si vous acceptez de jouer à fond cette carte, vous pourrez améliorer vos relations de couple. Célibataire, vous serez très sélectif !

Travail-Argent : Vous saurez ménager la chèvre et le chou. Cela vous aidera à maintenir l'harmonie au sein de votre équipe ! Vous aurez la possibilité de réaliser de belles performances et de prendre d'excellentes initiatives. N'hésitez pas à mettre les bouchées doubles.

Santé : Vous êtes en forme, équilibrez votre alimentation, pour le rester.

02 october
Illustrations de Jo Ratcliffe
  • Mort de Niels Arestrup : sa veuve Isabelle Le Nouvel partage des « mots bouleversants »

    Après un long combat contre la maladie, le comédien Niels Arestrup est mort dimanche, à l’âge de 75 ans. Sur ses réseaux sociaux, sa femme Isabelle Le Nouvel lui a rendu hommage le temps d’un message poignant.

  • “Je ne leur dis pas…” : Sarah Poniatowski fait de rares confidences sur ses trois enfants avec Marc Lavoine

    Dans les colonnes de "La tribune du dimanche", Sarah Poniatowski a fait de rares confidences sur ses trois enfants avec Marc Lavoine.

  • Sean Penn, en couple avec Valeria Nicov, mannequin de 34 ans sa cadette

    Sur le tapis rouge du Festival de Marrakech, Sean Penn a officialisé sa relation avec sa nouvelle compagne, Valeria Nicov. La jeune mannequin, âgée de 30 ans, a fait sensation au bras de son compagnon, qui a récemment célébré son 64ème anniversaire.

  • Carlos Tavares quitte Stellantis, le cours du groupe à la bourse illustre sa chute vertigineuse

    En six mois, le constructeur automobile a perdu tout ce qu’il avait mis des années à construire.

  • L'amour est dans le pré 2024 : Brice et Marion déjà bientôt parents ? "Je me sens prête..." (spoiler)

    Leur relation a commencé timidement, mais Brice et Marion n'ont plus envie de perdre de temps. Ensemble lors du bilan de...

  • De festival à Paris, Adriana Karembeu et Michel Drucker complices, face à un Cali déjanté

    EN IMAGES - Quelques célébrités se sont réunies à la Maison de la Chimie, entre le 30 novembre et le 1er décembre, pour le Festival des livres des artistes. Au programme : dédicaces, photos, discussions, retrouvailles et… Bain de foule !

  • Tim Burton refuse de réaliser une suite de "Edward aux mains d'argent"

    Le réalisateur a indiqué qu'il ne voyait pas l'intérêt de réaliser une suite d'Edward aux mains d'argent.

  • Le couvre-feu levé en Nouvelle-Calédonie, plus de six mois après les émeutes

    Le couvre-feu qui était en vigueur depuis le 14 mai en Nouvelle-Calédonie est levé, a annoncé lundi le Haut-commissariat de la République à Nouméa, plus de six mois après le début d'émeutes qui ont ravagé le territoire français du Pacifique sud."Le couvre-feu est levé sur l'ensemble du territoire de la Nouvelle-Calédonie à compter du lundi 2 décembre", dit le communiqué du Haut-commissariat.

  • "J’ai détesté l’école" : Louis Chédid revient sur sa scolarité chaotique dans "Un Dimanche à la campagne"

    Dimanche 1er décembre 2024, Frédéric Lopez recevait, entre autres, Louis Chédid dans son émission Un dimanche à la campagne. Le chanteur est revenu sur sa scolarité pour le moins chaotique.

  • F1: Ocon écarté, Doohan pilotera pour Alpine à Abou Dhabi

    Le Français Esteban Ocon, en partance pour l'écurie américaine Haas, a été écarté par Alpine et sera remplacé par l'Australien Jack Doohan pour le dernier Grand Prix de F1 de la saison, le week-end prochain à Abou Dhabi, a informé l'écurie lundi."Alpine annonce la participation de son pilote de réserve Jack Doohan au Grand Prix d’Abou Dhabi 2024 en lieu et place d’Esteban Ocon.

  • Baptiste Lecaplain : "Un peu de consanguinité", ses confessions bouleversantes sur sa famille

    Originaire de Basse-Normandie, c'est sur le plateau de l'émission Un Dimanche à la Campagne que Baptiste Lecaplain s'est confié sur sa famille et sur son enfance.

  • Sur Doctolib, cette nouvelle option pour les documents médicaux des patients inquiète l’Assurance-maladie

    Un nouvel onglet « santé » va permettre aux utilisateurs de rassembler et partager leurs informations médicales.

  • Les images surréalistes des manifestations en Géorgie : la police attaquée aux mortiers d’artifice

    Des dizaines de milliers de manifestants pro-Union Européenne se sont rassemblés dimanche 1er décembre au soir dans plusieurs villes de Géorgie, pour la quatrième nuit consécutive, pour protester contre le gouvernement, qui a exclu l’organisation de nouvelles législatives comme le réclame l’opposition.

  • Censure du gouvernement Barnier : « C’est la logique parlementaire », estime Alexis Corbière

    Ce lundi, Alexis Corbière, député Nouveau Front populaire de Seine-Saint-Denis était l’invité de la matinale de Public Sénat. Dans la perspective du déclenchement de l’article 49 alinéa 3 de la Constitution par Michel Barnier cet après-midi, le député assure qu’une motion de censure sera déposée et votée par les députés du Nouveau Front populaire. Il demande également la démission d’Emmanuel Macron.

  • Aurore Bergé accuse le ministre Alexandre Portier de fake news sur l’éducation à la sexualité

    La députée des Yvelines, qui a participé à l’élaboration du programme d’éducation à la vie affective et sexuelle, déplore que le ministre colporte de « fausses informations ».

  • "Je représente moins une..." : Antoine de Maximy révèle pourquoi il est plus facile pour lui d'aller dormir chez des femmes

    Aux commandes de J’irai dormir chez vous depuis 20 ans, Antoine de Maximy a fait une révélation surprenante dans le Buzz TV. Sans tabou, l’infatigable globetrotteur a évoqué son âge.

  • Le "sifflet de la mort" servait-il vraiment à effrayer les victimes sacrificielles des Aztèques ?

    Notre vision sanguinaire des Aztèques fausse notre interprétation du "sifflet de la mort" en plaquant des fantasmes de cruauté sur un simple instrument de musique. Avis à ceux qui aiment jouer à se faire peur !

  • Transport des malades: plusieurs centaines de chauffeurs de taxi manifestent autour de Lyon

    Plusieurs centaines de chauffeurs de taxi ont entamé lundi matin des ralentissements ou blocages sur plusieurs points d'accès à l'agglomération de Lyon, pour protester contre la convention en cours de négociation avec l'Assurance maladie pour le transport de malades assis, selon la préfecture du Rhône.Les chauffeurs protestent contre une nouvelle tarification à la baisse du transport médical et une obligation de faire du "taxi partagé" proposée par la Caisse nationale d'assurance maladie (CNAM)."Non seulement on va attendre très longtemps pour remplir la voiture, on va faire des tournées qui n'en finiront pas, mais aussi on va détériorer le service qu'on a mis en place depuis des années avec les patients", explique à l'AFP Abdel Green, président de la Fédération des taxis indépendants du Rhône (FTI69).Avec une trentaine de chauffeurs de taxis, ils se sont installés à l'entrée de l'hôpital Edouard Herriot à Lyon, pour distribuer des tracts intitulés "Transport médical en danger", sans gêner l'accès. "Le patient ce n'est pas un gars que vous emmenez à l'aéroport ou en boîte de nuit ou chez le coiffeur. C'est quelqu'un qui vous attend avec impatience parce que vous êtes peut-être la seule personne qu'il voit dans la semaine et c'est une sortie pour lui. Il vous raconte ses petits bobos, il vous parle de sa petite famille, vous l'emmenez à l'hôpital, des fois vous l'aidez même à s'habiller quand c'est la sortie d'hospitalisation", ajoute le responsable."C'est ça qui nous embête, bien plus que le fait qu'ils veuillent nous faire rouler à 0,98 centimes du kilomètre au lieu de 1,67 euros. C'est une perte de pouvoir d'achat. On est juste en train de nous comparer à des transporteurs de colis. Sauf qu'on transporte des humains", plaide-t-il.Sur un rond-point d'accès au périphérique nord de Lyon, environ 150 taxis, feux de détresse allumés, stationnaient en files indiennes, sans pour autant bloquer totalement la circulation. Certains affichaient des pancartes "taxis en grève" ou "taxi médical en danger", a constaté une journaliste de l'AFP.Pour Nicolas Galliot, 43 ans, chauffeur de taxi à Clermont-Ferrand et patron, le transport médical représente 60 à 70% de son chiffre d'affaires.Si cette convention passe "ce sera au détriment de mes salariés, de la valeur de nos licences, mais surtout des patients". Regrouper les patients dans un taxi partagé c'est les "parquer comme du bétail", dit-il. "On va perdre le côté humain de notre métier", s'inquiète-t-il.Selon un point à 08H15, la préfecture de la région Auvergne-Rhône-Alpes relevait une situation "très perturbée" sur les entrées autoroutières de l'agglomération lyonnaise, avec quatre points de blocage et une opération escargot à Villefranche-sur-Saône, et des ralentissements au péage de Saint-Quentin-Fallavier.bla-epe/rhl

  • Ce soin qui booste le regard est le préféré de Kendall Jenner

    Pour sublimer son contour de l’œil, la star ne jure que par cette crème formulée à base d’huile d’avocat.

  • Géorgie: la mobilisation pro-européenne ne faiblit pas, assure la présidente

    La présidente pro-occidentale de la Géorgie Salomé Zourabichvili a martelé lundi que la mobilisation de la rue ne faiblissait pas, après une quatrième nuit de manifestations émaillées de heurts pour réclamer de nouvelles législatives et dénoncer la décision des autorités de suspendre les ambitions d'intégration du pays au sein de l'UE."Encore une nuit impressionnante au cours de laquelle les Géorgiens ont défendu fermement leur Constitution et leur choix européen", a écrit Mme Zourabichvili sur X, en partageant des images du rassemblement de la veille."La détermination dans les rues ne montre aucun signe d'arrêt", a assuré la présidente de ce pays du Caucase, en rupture avec le ouvernement mais aux pouvoirs très limités.Le parti Rêve géorgien, au pouvoir depuis 2012 et accusé par ses opposants de dérive autoritaire prorusse, a déclenché jeudi une nouvelle vague de mobilisation en repoussant à 2028 toute négociation d'intégration dans l'Union européenne.Cet objectif est pourtant si précieux qu'il est inscrit dans la Constitution de cette ex-république soviétique.Ce mouvement se produit alors que l'autorité du parti Rêve géorgien est très contestée par l'opposition, qui l'accuse d'avoir "volé" les élections législatives du 26 octobre.Dimanche soir, pour la quatrième nuit consécutive, des dizaines de milliers de manifestants se sont rassemblés en agitant des drapeaux européens jusque tard à Tbilissi, la capitale, et dans d'autres villes.La situation s'est tendue dans la soirée autour du Parlement à Tbilissi. Des manifestants ont lancé des feux d'artifices à l'intérieur du bâtiment, en visant les nombreuses fenêtres cassées et provoquant à chaque fois des cris de joie dans la foule.Ils ont finalement été dispersés à coups de canons à eau et de gaz lacrymogène par la police, vers laquelle certains d'entre eux envoyaient différents projectiles.Le ministère de l'Intérieur a annoncé lundi que 21 policiers ont été blessés, dont certains "grièvement", lors des manifestations et heurts de la veille.Au total, 224 personnes ont été interpellées depuis le début des rassemblements la semaine dernière, a ajouté le ministère dans un communiqué.Les manifestants accusent la police de les violenter. "Ils sont énervés, ils nous battent, ils nous arrosent" mais "on s'en fout", a déclaré dimanche à l'AFP Lika, 18 ans, alors que la police tentait de disperser la foule.Le mouvement n'a pas de leader clair, mais les Géorgiens rassemblés dimanche se disaient déterminés à continuer de défendre la voie européenne de la Géorgie. - "Gouvernement prorusse" -Les Géorgiens défilent pour l'UE tout autant que contre la Russie voisine, la foule scandant régulièrement des slogans hostiles à Moscou.Alexandre Diasamidzé, manifestant de 32 ans, a affirmé que le Rêve géorgien est "un gouvernement prorusse et ils doivent partir".Le pays niché sur les rives de la mer Noire, reste traumatisé par l'invasion russe de 2008, au cours d'une brève guerre.Moscou avait ensuite reconnu l'indépendance de deux régions séparatistes frontalières de son territoire, l'Abkhazie et l'Ossétie du Sud, où elle maintient toujours une présence militaire.La Géorgie traverse une crise politique depuis que le parti Rêve géorgien a proclamé sa victoire aux élections législatives de fin octobre. L'opposition, et la présidente pro-occidentale Salomé Zourabichvili, estiment le scrutin entaché de fraudes, et l'UE a demandé une enquête.Le Premier ministre Irakli Kobakhidzé a pour sa part catégoriquement exclu d'organiser de nouvelles élections.Salomé Zourabichvili a elle annoncé samedi qu'elle refuserait de rendre son mandat à la fin de l'année, comme cela était prévu, tant qu'un nouveau scrutin n'aurait pas lieu.Les manifestants géorgiens ont reçu l'appui de pays occidentaux et de Bruxelles."Le gouvernement géorgien doit respecter la volonté du peuple", a estimé dimanche la nouvelle cheffe de la diplomatie européenne, Kaja Kallas, en dénonçant la "violence" contre les rassemblements.La colère des opposants se dirige aussi contre la télévision publique, accusée d'être au service du gouvernement et de donner une représentation biaisée des rassemblements."Ils sont très, très pro-gouvernement, et ils n'accordent pas beaucoup d'attention aux voix des opprimés", a estimé dimanche Lacha Matiachvili, professeur de 35 ans, devant le siège de la télévision avec d'autres manifestants.La Géorgie a obtenu officiellement le statut de candidat à l'adhésion à l'UE en décembre 2023, mais Bruxelles a depuis gelé le processus, accusant l'exécutif d'opérer un grave recul démocratique.led/bur/sba