Sagittaire
23 NOVEMBRE - 21 DÉCEMBRE

Amour : Vous ferez tout pour maintenir une belle harmonie dans votre vie de couple. Célibataire, vous saurez mettre vos qualités en avant et vous faire remarquer. Il est possible qu'un collègue de travail vous fasse des avances. Vous devrez rester vigilant car mélanger l'amour et le travail demande de trouver bon un équilibre ! Pour les autres, une rencontre surprenante est à prévoir et la passion pourrait bien faire son grand retour dans leur vie. Le plus compliqué sera de ne pas perdre le contrôle de ses émotions…
Travail-Argent : La qualité de vos projets et l'excellence de vos idées séduiront tous les publics, même les plus exigeants. Dans votre entourage professionnel votre efficacité fait l'unanimité et l'on se bat pour collaborer avec vous. Il faudra maintenant faire les bons choix et saisir les opportunités qui s'offrent à vous. Il est vrai que choisir implique de renoncer, mais voyez plutôt les bénéfices apportés plutôt que de vous miner avec des regrets.
Santé : Les plaisirs de la table occupent une grande partie de votre temps et vous êtes un peu trop gourmand ! Gâteau, tartiflette, bonbons… Vos excès se ressentiront bientôt sur la balance. Vous avez de l'énergie à revendre, alors n'hésitez pas à la dépenser en faisant du sport cela vous permettra d'éliminer quelques calories.
Bélier
21 MARS - 20 AVRILTaureau
21 AVRIL - 20 MAIGémeaux
21 MAI - 21 JUINCancer
22 JUIN - 22 JUILLETLion
23 JUILLET - 22 AOÛTVierge
23 AOÛT - 22 SEPTEMBREBalance
23 SEPTEMBRE - 22 OCTOBREScorpion
23 OCTOBRE - 22 NOVEMBRESagittaire
23 NOVEMBRE - 21 DÉCEMBRECapricorne
22 DÉCEMBRE - 20 JANVIERVerseau
21 JANV - 18 FÉVRIERPoissons
19 FÉVRIER - 20 MARS
Est de la RDC: début du retrait de la force régionale est-africaine
La force régionale de la Communauté d'Afrique de l'Est (EAC-RF), dont Kinshasa, qui la juge inefficace, a décidé de ne pas renouveler le mandat, a commencé dimanche à quitter la République démocratique du Congo.Deux groupes d'une centaine de militaires kényans chacun ont quitté la région depuis l'aéroport de Goma, capitale provinciale du Nord-Kivu, à destination de Nairobi. Un premier avion a décollé peu après 05H00 locales (03H00 GMT), puis un 2e vers 10H30 (08H30 GMT).Aucun officiel congolais n'était présent sur le tarmac et, dimanche à la mi-journée, les autorités de RDC n'avaient pas encore communiqué sur ces départs.Un porte-parole de l'EAC-RF sur place a confirmé à l'AFP que les militaires kényans se rendaient à Nairobi mais n'a pas donné dans l'immédiat d'autres précisions sur la suite du retrait de la force, qui comprend également des soldats ougandais, burundais et sud-soudanais."Nous sommes contents du départ de l'EAC", a déclaré à l'AFP Emmanuel Agaye, un chauffeur de taxi-moto à Goma. "Nous savons qu'ils étaient venus pour nous aider à combattre, mais ils n'ont pas combattu", a-t-il déploré."La force de l'EAC n'a pas sa place ici", rage Innocent Niyibizi, un autre habitant de Goma. "Nous avons été surpris de voir que les rebelles du M23 ont dépassé les positions de l'EAC et se sont emparés de nouvelles localités", regrette-t-il.Les soldats kényans avaient commencé à arriver à Goma en novembre 2022, environ un an après la résurgence dans le Nord-Kivu de la rébellion du M23 ("Mouvement du 23 mars") qui, avec le soutien du Rwanda selon de nombreuses sources, s'est emparé de vastes pans de la province.Les autorités congolaises avaient alors invité l'EAC à déployer sa force pour libérer des espaces conquis par les rebelles.Mais la population de la région et le gouvernement congolais se sont vite montrés très critiques vis-à-vis des troupes de l'EAC, leur reprochant - à l'exception des Burundais - de cohabiter avec les rebelles plutôt que de les contraindre à déposer les armes.A l'issue d'un sommet de l'EAC tenu le 25 novembre, l'organisation régionale a annoncé dans un communiqué que la RDC "ne renouvellerait pas le mandat de la force régionale au-delà du 8 décembre 2023".Ce départ des soldats kényans intervient alors que des combats continuent d'opposer le M23 à l'armée congolaise appuyée par des miliciens se présentant comme "patriotes".Un soldat kényan de la force régionale avait été tué le 24 octobre par des éclats d'obus.Le président du M23, Bertrand Bisimwa, a réagi sur X au départ des premiers soldats de l'EAC, déclarant que son groupe armé "n'entend pas laisser ses espaces qu'il avait cédés à l'EAC-RF être envahis par la coalition des forces du régime de Kinshasa".- Elections le 20 décembre -De nombreux groupes armés et autres milices sévissent depuis trois décennies dans l'est de la RDC, un héritage des guerres régionales qui ont éclaté dans les années 1990 et 2000.Outre la force de l'EAC, une mission de l'ONU, la Monusco, anciennement Monuc, est présente en RDC depuis 1999. Mais elle se trouve elle aussi accusée d'inefficacité et Kinshasa demande son départ, "ordonné" mais "accéléré", à partir de janvier 2024.La Monusco comprend environ 14.000 Casques bleus, déployés presque exclusivement dans l'est du pays.Des élections générales sont prévues le 20 décembre en RDC, vaste pays de quelque 100 millions d'habitants. Le président sortant, Félix Tshisekedi, au pouvoir depuis janvier 2019, est candidat à un second mandat de cinq ans.A cause de la rébellion du M23, les élections ne pourront toutefois pas avoir lieu dans deux territoires du Nord-Kivu.Pour remplacer la force de l'EAC, Félix Tshisekedi compte notamment sur le déploiement de contingents de la communauté d'Afrique australe (SADC) à laquelle appartient également la RDC. Mais la mise sur pied de cette force, évoquée depuis le mois de mai, ne s'est jusqu'à présent pas concrétisée. Environ un millier d'anciens militaires européens, présentés par Kinshasa comme des "instructeurs" et répartis dans deux sociétés privées, sont également présents dans le Nord-Kivu.Les autorités congolaises affirment aussi que l'armée nationale est en train de monter en puissance, avec l'objectif d'assurer elle-même la défense du territoire et de protéger le pays des "agressions" de ses voisins, le Rwanda en particulier.ah-at/cpy
Attaque mortelle à Paris: Emmanuel Macron demande à Élisabeth Borne de tenir une réunion sécuritaire
La Première ministre doit tenir une réunion sécuritaire ce dimanche après-midi, à la demande d'Emmanuel Macron, après l'attaque mortelle survenue samedi à Paris.
Margot Robbie et Ryan Gosling : Barbie et Ken se retrouvent à Hollywood
EN IMAGES - Margot Robbie et Ryan Gosling se sont retrouvés à l’occasion d’une projection du film « Barbie », suivie par une soirée en compagnie du casting.
Cyril Féraud et Florent Peyre rivalisent de blagues sur le plateau des Enfants de la télé
Cyril Féraud et Florent Peyre rivalisent de blagues sur le plateau des Enfants de la télé
Philippines: au moins quatre morts dans un attentat à la bombe lors d'une messe catholique
Au moins quatre personnes ont été tuées et un cinquantaine d'autres blessées dans un attentat à la bombe perpétré dimanche lors d'une messe catholique dans le sud des Philippines, région troublée par une insurrection, ont indiqué les autorités. Le lieutenant général de la police Emmanuel Peralta a déclaré que quatre personnes avaient été tuées et une cinquantaine d'autres blessées dans l'explosion provoquée par un engin explosif artisanal.
Voici - Patrick Cohen : sa femme est une ancienne journaliste
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Eruption volcanique en Indonésie: des cendres à 3 km de haut, randonneurs recherchés
Un volcan est entré en éruption dans l'ouest de l'Indonésie dimanche, envoyant une colonne de cendres à trois kilomètres de hauteur, et l'on recherchait toujours en fin de journée une quarantaine de randonneurs dans la zone, a-t-on annoncé de source officielle.Mais un total de 70 personnes avaient été enregistrées comme étant entrées dans cette zone samedi et dimanche matin, et 42 d'entre elles n'avaient toujours pas été localisées en fin de journée.
Après l’attaque à Paris, le profil de l’assaillant entre « fiche S » et suivi psychiatrique interroge la classe politique
Alors que droite et extrême droite réclament un tour de vis sécuritaire, la gauche appelle à améliorer le suivi médical des personnes diagnostiquées.
Bronchiolite : apprendre à prévenir la maladie chez les bébés
Cette infection respiratoire tant redoutée chez les petits n'épargne pas les adultes. S'il n'existe pas de traitement curatif, il y a du nouveau pour mieux protéger les bébés.
Philippines: le séisme sur l'île de Mindanao a fait au moins deux morts
Un puissant séisme de magnitude 7,6 suivi de plusieurs grosses répliques, qui a frappé samedi l'île de Mindanao, dans le sud des Philippines, a fait au moins deux morts et quatre blessés.Un séisme de magnitude 6,7 avait déjà frappé la région de l'île de Mindanao le 17 novembre, faisant au moins neuf morts.
Boxe: le gros KO de Ryan Garcia sur Oscar Duarte pour un retour fracassant dans une nouvelle catégorie
Défait par Gervonta Davis en avril dernier, Ryan Garcia s'était décidé de monter de catégorie et de partir à la conquête des super légers. Un rebond réussi pour l'Américain, ce samedi, auteur d'un KO fracassant contre Oscar Duarte, au 8e round.
Le Havre-PSG: inquiétude pour Fabian Ruiz, rapidement sorti sur civière
Le milieu de terrain espagnol du PSG Fabian Ruiz est sorti blessé, potentiellement à l'épaule ou au poignet, au début du match face au Havre, dimanche lors de la 14eme journée de Ligue 1. Un nouveau coup dur pour l’équipe parisienne.
COP28: quand la pollution brouille le ciel de Dubaï, en pleine conférence sur le climat
La rutilante ligne d'horizon des gratte-ciels de Dubaï a été obscurcie par une couche de brouillard qualifiée de "malsaine" dimanche, alors que des milliers de délégués assistaient à une conférence de la 28e conférence des Nations unies sur le climat, la COP28, consacrée aux effets néfastes de la pollution atmosphérique.
Hautes-Alpes : De gros dégâts à Risoul, où le torrent a « traversé la mairie »
inondations - La pression de l’eau a fait éclater les vitres de la mairie de Risoul. Par ailleurs, le haut de la station de ski reste privé d’électricité
Attaque à Paris : l’assaillant était soumis à un « suivi » psychiatrique
Le ministre de la Santé Aurélien Rousseau a confirmé que l'auteur de l'attaque qui a fait un mort et deux blessés samedi soir à Paris était soumis à un « suivi » psychiatrique, sans hospitalisation.
Dans les hôpitaux du sud de la bande de Gaza, le chaos
Des proches tiennent les poches de sérum de blessés allongés à même le sol, d'autres emportent un corps pour aller l'envelopper dans un linceul. Et, chaque jour affluent de nouveaux blessés: dans les hôpitaux du sud de la bande de Gaza, c'est le chaos.Après huit semaines de guerre interrompues par une maigre pause de sept jours, les médecins sont exténués. Ils doivent choisir quand et dans quels services faire tourner les générateurs, dont les réserves de fuel sont quasiment à sec, l'électricité étant coupée dans la bande de Gaza depuis qu'Israël en a ordonné le "siège complet".Aujourd'hui, rapporte l'ONU, "plus aucun hôpitaldu nord ne peut assurer d'opération chirurgicale". Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) convoie chaque jour les blessés les plus graves vers le sud où, toujours selon l'ONU, "les douze hôpitaux restants ne sont qu'en partie fonctionnels".Abdelkarim Abou Warda et Houda viennent d'arriver à bord d'un de ces convois à l'hôpital de Deir al-Balah, dans le sud.- "Elle ne répond plus" -Vendredi, quand les hostilités ont repris entre le Hamas, au pouvoir à Gaza, et Israël, l'aviation israélienne a largué une bombe sur leur maison de Jabaliya, l'immense camp de réfugiés du nord.Houda, neuf ans, a été touchée à la tête. "Elle a fait une hémorragie cérébrale, elle a été placée sous respirateur en soins intensifs", raconte son père à l'AFP.Depuis, "elle ne réagit à rien", dit-il en levant les bras de la petite, dont le visage dodeline sans que ses yeux s'ouvrent. "Elle ne me répond plus", répète-t-il entre deux sanglots.Maintenant que le jour se lève, les premières prières des morts résonnent. Ici, quelques dizaines d'hommes se recueillent devant des sacs mortuaires blancs alignés au sol.Entre deux grands sacs, un petit linceul est logé, celui d'un enfant qu'on garde près de ses parents, jusque dans la mort.Des femmes en larmes s'accroupissent pour toucher une dernière fois un visage, embrasser un proche parti avant que des hommes ne chargent précautionneusement des corps à l'arrière d'un pick-up."C'est Adam qui part, et là, Abdallah", lance une femme en sanglots.A l'hôpital Nasser de Khan Younès, le plus grand du sud de la bande de Gaza, c'est le même engorgement.Le patron de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), Tedros Adhanom Ghebreyesus, a évoqué dimanche cet hôpital, disant "ne pas pouvoir trouver de mots assez forts" pour décrire la situation.Ici aussi, on reçoit les évacués des hôpitaux du nord, où, en plus des frappes venues des airs, de la mer et de l'artillerie postée en territoire israélien, des combats au sol ont lieu jusque dans des hôpitaux.- "J'ai vu la bombe tomber" -Les frappes, qui ont fait selon le gouvernement du Hamas plus de 15.200 morts -- dont 280 soignants -- depuis qu'elles ont débuté le 7 octobre, en représailles à l'attaque sanglante du Hamas en Israël qui a fait 1.200 morts selon Israël, se concentrent désormais sur Khan Younès.Chaque jour désormais, l'armée israélienne avertit dans des tracts largués sur certains quartiers qu'une "terrible attaque est imminente" et ordonne aux habitants d'en partir.Chaque jour aussi, ces avertissements se rapprochent du quartier de l'hôpital.A chaque explosion qui secoue la ville, affluent de nouveaux blessés, de nouveaux mutilés et de nouveaux corps parfois sans personne pour les identifier.Alors, en courant, des brancardiers poussent une civière encore tachée de sang pour aller chercher les derniers arrivés, souvent dans des voitures de particuliers car les ambulances n'ont plus le temps de sortir.Dans les couloirs, familles, blessés, soignants se poussent pour approcher des lits. D'autres glissent un pull ou un T-shirt sous la tête d'un blessé allongé à même le carrelage froid, maculé de sang.Les blessés ont le visage crayeux, certains sont trop faibles pour crier leur douleur.Ehab al-Najjar, lui, laisse éclater sa colère."Je suis rentré chez moi et j'ai vu la bombe tomber sur notre maison ; des femmes, des enfants sont morts, qu'est-ce qu'ils ont fait pour mériter ça?", hurle-t-il, avant de se lancer dans une longue diatribe contre les dirigeants arabes et la communauté internationale.vid/sbh/ayv/rba
Le Havre-PSG: la nouvelle bourde de Donnarumma, exclu après 9 minutes pour un geste fou
Gianluigi Donnarumma a été exclu dès la 9e minute face au Havre pour un pied très haut sur Casimir.
Référendum au Venezuela pour renforcer ses prétentions sur l'Essequibo, une région du Guyana
"L'Essequibo est à nous", proclame le slogan officiel placardé partout dans les rues: les Vénézuéliens votent dimanche lors du référendum sur ce territoire riche en pétrole que Caracas réclame au Guyana.Dans la rue, de nombreux Vénézuéliens se disent motivés: "Nous avons un engagement envers le pays", lance Marlis Palmes, femme au foyer à Caracas.
Les Tuche 4 : comment Isabelle Nanty s'est dédoublée dans le film ?
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