Maladie d’Alzheimer : un mode de vie sain peu vraiment ralentir le déclin cognitif, peu importe son hérédité

Dans une récente étude française des chercheurs montré qu’adopter un mode de vie plus sain peut retarder l’apparition de la démence et ralentir le déclin cognitif, même chez les personnes présentant un risque génétique élevé pour la maladie d’Alzheimer. Voici les bons comportements à adopter.

Améliorer notre mode de vie peut-il ralentir le développement de la démence et sa principale cause, la maladie d’Alzheimer ? Cette question est au cœur de nombreux travaux de recherche. Si plusieurs facteurs génétiques et environnementaux peuvent augmenter le risque de développer cette maladie qui se caractérise par un déclin cognitif majeur (troubles de la mémoire, des fonctions exécutives et de l’orientation dans le temps et l’espace…), l’âge reste le facteur de risque le plus important. Il n’existe aujourd’hui aucun traitement curatif à la maladie d’Alzheimer. La maladie évolue de plus sur des dizaines d’années avant que les premiers symptômes n’apparaissent, c’est pourquoi la recherche se penche donc vers la prévention, dans l’espoir de limiter les symptômes et/ou ralentir la maladie. Une des pistes les plus étudiées actuellement consiste à s’intéresser à la combinaison de facteurs de risque modifiables, liés au mode de vie. La communauté scientifique souhaite notamment déterminer si un meilleur profil de facteurs de risque modifiables peut être protecteur et retarder le développement de la maladie.

Dans ce domaine, il est d’ores et déjà établi que 40% des cas pourraient être évités grâce à une prévention adaptée et la prise en compte de certains facteurs de risque modifiables selon la Fondation Recherche Alzheimer. A titre d’exemple, des facteurs de risque cardiovasculaires comme le diabète,...

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