"Il m'a hurlé dessus en plein resto" : quand la Saint-Valentin se transforme en rupture amoureuse

Unhappy young millennial married couple sitting on couch in living room after quarrel fight. Angry husband frustrated offended wife at home. Break up, divorce and misunderstanding in relations concept
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Pour bon nombre de couples, la Saint-Valentin est l'occasion de passer une soirée romantique, de se dire "Je t'aime", de s'offrir des cadeaux, et de passer un bon moment. Mais pour d'autres, cette date fatidique du 14 février s'est soldée par une rupture. Un mauvais souvenir à une date emblématique, qui rend ces moments encore plus difficiles à oublier.

Il n'y a pas de bon moment pour rompre avec quelqu'un, ou pour subir une rupture amoureuse. Mais en règle générale, les couples font en sorte d'éviter les grandes dates de l'année : Noël, les anniversaires, ou encore la Saint-Valentin. Malheureusement, le timing ne fonctionne pas toujours, et chaque année, plusieurs couples se séparent le jour de la fête des amoureux.

Des ruptures difficiles à oublier

Françoise s'en souvient comme si c'était hier : son ex-compagnon l'a quittée le 14 février 2009. "Oui, je sais, cela remonte à plus de 10 ans. Mais je crois que cette histoire m'a simplement traumatisée. À l'époque, j'étais très branchée Saint-Valentin, alors ce matin-là, je me suis réveillée avec un grand sourire, ravie à l'idée de profiter de cette journée avec mon amoureux. J'avais tout prévu ! Mais en allumant mon téléphone, j'ai découvert qu'il m'avait quittée. Par texto ! C'était mon premier amour, j'ai mis des mois à m'en remettre, et depuis, je suis incapable de célébrer la Saint-Valentin…"

Amy, elle, ne s'attendait pas vraiment à ce que sa Saint-Valentin se termine en rupture. "À l'époque, ça n'allait pas fort avec mon copain, mais on était tous les deux partants pour travailler sur notre couple pour régler nos problèmes. Le 14 février, on s'offre donc un petit dîner en amoureux pour raviver la flamme." Le repas se passe bien, l'ambiance est romantique… Mais au moment du dessert, tout bascule. "Mon compagnon propose que l'on fasse la liste de tout ce que l'on n'aime pas chez l'autre. Pour moi, c'était une très mauvaise idée. Mais il commence à me balancer que je n'étais pas assez féminine, que je ne prenais pas assez soin de moi… Bonjour les complexes !" La jeune femme, sous le choc, commence par refuser de lister des reproches à son partenaire. Mais face à son instance, elle craque : "Je lui avoue d'une petite voix que je trouve qu'il ne participe pas assez aux dépenses du couple. L'appartement appartient à mes parents, nous ne payons pas de loyer, mais c'est moi qui paye les courses, les factures, les sorties… Quelle erreur ! Il a commencé à me hurler dessus en plein resto." Lassée de cette attitude, Amy a fini par se séparer de ce malotru.

Quand la séparation tourne à la farce

Il y a quelques années, Noémie s'est séparée de son compagnon 72 heures avant la Saint-Valentin, et a passé un 14 février qu'elle ne risque pas d'oublier. "J'avais 18 ans, il en avait 23, et on vivait ensemble. Après l'avoir quitté, je suis allée passer quelques jours chez des amis. Le jour de la Saint-Valentin, il a eu l'audace de débarquer à mon travail avec un bouquet de fleurs, en pleine journée ! Des mois à mal se comporter et il pensait vraiment que des fleurs allaient me reconquérir ? J'ai donné le bouquet à mon chef, et j'ai envoyé mon ex balader."

Et parce que les hommes ne sont pas en reste, Marc a lui aussi une drôle d'histoire de rupture à raconter : "Je fréquentais cette fille très superficielle, qui aimait une chose plus que tout : faire parler d'elle, en bien ou en mal, quitte à faire n'importe quoi pour attirer l'attention. Nous étions ensemble depuis quelques semaines, et je lui avais fait savoir que son attitude ne me plaisait pas vraiment. Sa réponse ? Silence radio pendant 48h, et une annonce sur tous ses réseaux sociaux le 14 février : "Joyeuse Saint-Valentin Marc. PS : c'est fini entre nous." Plus dramatique, tu meurs… Mais finalement, c'était pour le mieux !"

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