Ce type d’activité pourrait aider à prévenir certaines maladies, comme la dépression ou le diabète de type 2

C’est bien connu, la pratique d’une activité physique régulière est cruciale pour maintenir une bonne santé physique et psychique. En effet, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) rappelle que l’exercice améliore les capacités cardiorespiratoires, la santé osseuse, contribue à garder un poids corporel sain, et réduit les risques de nombreuses maladies comme les maladies cardiovasculaires, le diabète, certains cancers, ou encore la dépression. Selon l’autorité de santé, les personnes ayant une activité insuffisante verraient leur risque de décès majoré de 20 à 30% par rapport aux autres.

C’est pour cela que l’OMS recommande aux adultes de faire au moins 150 à 300 minutes par semaine d'exercice d’endurance d’intensité modérée et entre 75 et 150 minutes d’activité d’endurance d’intensité soutenue. Mais si la fréquence d’activité physique est importante pour profiter de ses vertus santé, l’endroit de la pratique pourrait également jouer un rôle.

C’est ce qu’a observé une étude de l’université d’Exeter (Grande-Bretagne) publiée le 19 avril dans la revue Environment International. Son but ? Estimer la possible économie annuelle grâce aux bénéfices pour la santé associés à une activité physique dans un environnement naturel, sur l’année 2019 en Angleterre. En résumé, les chercheurs ont tenté d’estimer le nombre de cas de six maladies non transmissibles, c’est-à-dire le diabète de type 2, la cardiopathie ischémique, l’accident vasculaire cérébral ischémique, le cancer du côlon, le cancer (...)

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