Une étude révèle une autre conséquence surprise du tabagisme… sur le tour de taille

Alors que certains fumeurs pourraient justifier de continuer à fumer en raison du poids plus faible souvent associé à cette habitude, des chercheurs ont prouvé que même avec un indice de masse corporelle (IMC) inférieur, ces derniers ont un risque plus élevé de présenter un type de graisse particulièrement néfaste pour la santé : la graisse viscérale. Explications.

Nombreux sont les fumeurs à craindre que leur décision d’arrêter tabac ne s’accompagne de quelques kilogrammes supplémentaires. Pourtant la prise de poids dans ce cadre n’est pas systématique comme le rappelle le CHU de Toulouse dans un guide dédié. En effet, quand on fume, la nicotine contenue dans le tabac agit en diminuant l’appétit, en augmentant les dépenses énergétiques et en ralentissant le stockage des graisses… il n’est donc pas rare de prendre un peu de poids quand on arrête de fumer. Mais ce n’est pas toujours le cas car l’organisme affirme « qu’un tiers des fumeurs ne prennent pas de poids à l’arrêt du tabac. Chez les autres, cette prise de poids est en moyenne de deux à quatre kilos. Certains ne prennent qu’un kilo, d’autres en prennent davantage. » En cause, deux phénomènes précis, le premier étant tout simplement que certaines personnes ressentent une augmentation de la faim comme symptôme de sevrage. Il s’avère également que la nicotine a tendance à accélérer le système de transformation des aliments du corps, le métabolisme, mais que lorsque les gens arrêtent de fumer, ce dernier ralentit et ils brûlent moins de calories.

Mais voilà qu’une nouvelle étude met fin à l’idée reçue que fumer limite la prise de poids en suggérant que cette habitude augmente la graisse abdominale, en particulier la graisse viscérale, située au fond de l'abdomen et donc liée à un risque plus élevé de...

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