Syndrome prémenstruel : 5 façons de savoir ce qui est normal et ce qui ne l'est pas

Le syndrome prémenstruel englobe divers symptômes physiques et émotionnels qui surviennent chez les femmes avant les règles, impactant parfois leur quotidien. Il est toutefois difficile d’offrir une définition claire et précise tant ces derniers sont variés, en termes de survenue mais aussi d’intensité. Un gynécologue évoque cependant cinq critères à ne pas négliger.

Des douleurs, une modification de l’humeur ou encore une poitrine sensible sont quelques-uns des signes qui annoncent, chez de nombreuses femmes, l’arrivée des règles. Si certaines vont expérimenter ces désagréments sans qu’ils aient forcément un impact sur leur qualité de vie d’autres peuvent faire état de symptômes qui répondent à la définition du syndrome prémenstruel. Selon les HUG*, plus de 150 symptômes du syndrome prémenstruel ont été décrits : ils sont d’ordre psychologique (irritabilité, troubles de l’humeur, dépression, anxiété, etc.) ou physique (ballonnements, tension dans les seins, maux de tête, augmentation de l’appétit, fatigue extrême, bouffées de chaleur). L’Inserm estime quant à lui que le syndrome prémenstruel concernerait 20 à 40 % des femmes en âge de procréer, avec des manifestations d’intensité variable. « Il perturbe la vie sociale, professionnelle et familiale d’un tiers d’entre elles et constitue un réel handicap dans environ 5 % des cas, lorsqu’il est associé à des symptômes analogues à ceux de la dépression majeure. On parle alors de trouble dysphorique prémenstruel, ou TDPM. », indique l’organisme.

Aussi étonnant que cela puisse paraître pour un problème qui nuit à la qualité de vie d’une grande partie de l’humanité, les causes de ce syndrome restent floues. Compte tenu de son lien avec le cycle menstruel, les médecins soupçonnent en premier lieu...

Lire la suite sur Femina.fr

A lire aussi