Comment éviter les perturbateurs endocriniens dans l’alimentation ?

Notre alimentation reste la principale source d'exposition aux perturbateurs endocriniens. Quelques bons réflexes permettent toutefois de les limiter.

L'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (ANSES) en France a répertorié 906 substances potentiellement perturbatrices endocriniennes et nos assiettes sont l’une des principales sources d'exposition.  Ces substances interférent avec le système hormonal humain et ont des effets néfastes sur la santé, tels que des perturbations de la croissance, du développement, du métabolisme et de la reproduction. Omniprésents, on les retrouve dans les aliments eux-mêmes, soit à cause des pratiques agricoles (utilisation de pesticides, d'engrais chimiques…), soit à cause de la contamination environnementale (pollution de l'eau, de l'air…). Certains emballages et ustensiles alimentaires contiennent également des perturbateurs endocriniens, qui peuvent migrer dans les aliments, surtout lorsqu'ils sont chauffés ou en contact prolongé avec les aliments. Voici quelques conseils pour les éviter un maximum dans notre alimentation.

Les pesticides

Présents dans les fruits, les légumes et les céréales, les pesticides sont néfastes pour notre organisme. Pour limiter l’exposition, optez pour des fruits et légumes biologiques, cultivés sans l'utilisation de pesticides chimiques synthétiques. Recherchez les labels biologiques sur les emballages ou achetez directement auprès de producteurs biologiques locaux. Pensez à bien laver les fruits et légumes, à l’eau claire. Si vous consommez des fruits et légumes...

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