Anne Roumanoff se confie sur sa liposuccion du ventre : "Ça fait très très mal ! Je préfère un régime et des abdos"

PARIS, FRANCE - 11/14/2017: Humorist Anne Roumanoff poses during a portrait session in Paris, France on 11/14/2017. (Photo by Eric Fougere/Corbis via Getty Images)
Anne Roumanoff se confie sur sa liposuccion du ventre : "Ça fait très très mal ! Je préfère un régime et des abdos". (Photo by Eric Fougere/Corbis via Getty Images)

Invitée à l'occasion d'une soirée spéciale, "Les Grosses Têtes", sur France 2 ce mardi 30 mai, Anne Roumanoff a débuté sa carrière d'humoriste à la fin des années 80. Si elle a su se faire une place dans le paysage audiovisuel français et inspirer d'autres femmes à se lancer dans cette voie assez masculine à l'époque, l'artiste n'a pas toujours eu confiance en elle. Très exposée de par son métier, plusieurs aspects de son physique la complexaient, elle a donc décidé d'y remédier.

Anne Roumanoff a débuté sa carrière d'humoriste sur scène à la fin des années 80. Au fil des décennies, elle s'est imposée comme une référence en matière d'humour, égalant la réussite de ses collègues masculins, comme Laurent Gerra ou Nicolas Canteloup. En devenant l'une des rares femmes humoristes de sa génération à être autant médiatisée, Anne Roumanoff a aussi été très exposée à de nombreuses critiques sexistes sur son physique. Complexée par son poids, elle a avoué avoir eu recours à une liposuccion.

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"On lui dit que nous, on la trouve jolie !"

Ciblée par des internautes, des spectateurs, voire même des médias, Anne Roumanoff a révélé en 2014 au magazine Gala avoir déjà pleuré après avoir reçu des remarques sur son physique, la qualifiant de "moche". L'aînée de ses filles, Alice, 19 ans à l'époque n'avait pas hésité à la défendre : "Ces critiques me blessent énormément, surtout celles qui portent sur son physique", avait-elle ainsi confié. "Petite, à force de les entendre, je finissais par croire qu'elle était moche. En grandissant, j'ai compris à quel point la célébrité vous expose. (...) La solidarité familiale joue à fond. Marie [sa petite sœur; ndlr] et moi, on la soutient, on lui remonte le moral et on lui dit que nous, on la trouve jolie !"

L'humoriste résume le comportement de sa première fille ainsi : "Quand elle me sent fragilisée, elle me protège. La petite fait pareil. De vraies tigresses qui redoublent alors de gentillesse !"

"Je me suis dit : 'C'est le moment où jamais'"

Pour être mieux dans sa peau, Anne Roumanoff a finalement décidé d'avoir recours à la chirurgie esthétique. En effet, en 2021, sur le plateau de "On refait le télé" sur RTL, l'humoriste a révélé qu'elle avait fait une liposuccion du ventre. Alors que l'animateur Éric Dussart la trouvait rajeunie de "20 ans", Anne Roumanoff a déclaré avoir tenté l'expérience lors du confinement, alors que les salles de spectacles étaient fermées, afin de tenter de faire disparaître l'un des ses complexes. "Je me suis dit : 'C'est le moment où jamais.' J'ai tout le temps du travail, alors que là je me suis dit : 'Je vais le faire'", a-t-elle expliqué.

Pour autant, l'artiste ne conseillerait pas la liposuccion à tout le monde. "Je n'avais pas du tout percuté que c'était une opération, hyper... Franchement ça fait très très très mal", a-t-elle affirmé, préférant même, a posteriori "un régime et des abdos" pour perdre du poids.

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Un décision dont les conséquences douloureuses l'ont suivie pendant un certain moment, d'autant plus qu'elle a du rester alitée encore plus longtemps que prévu : "Pendant une semaine, je me levais pour faire mon émission de radio puis je me recouchais. J'avais mal. Et après j'ai eu le Covid. J'ai eu une forme très légère, mais quand même j'ai été couchée pendant une semaine, où pareil, je ne me levais que pour faire mon émission de radio. Et donc je suis restée immobile dans le lit... Ce qui n'est pas bon du tout".

Et de poursuivre, avec une pointe d'humour sur l'ironie de la situation : "J'ai beaucoup mangé, j'avoue, parce que j'étais très inquiète. Et je me suis dit : 'Si jamais ça se passe mal, il faut que j'ai des forces'... Je me faisais livrer parce que c'était pendant le confinement. Je pensais que j'allais mourir, et j'avais trouvé une adresse où ils faisaient du steak, en petits morceaux, et des frites. (...) Il y a eu un petit bilan après tout ça... J'avais grossi !"

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