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Bélier

21 MARS - 20 AVRIL

Amour : Célibataire, oubliez enfin le passé et regardez droit devant. Il vous faut satisfaire vos besoins affectifs d'aujourd'hui. À la longue, la nostalgie dans laquelle vous vous complaisez depuis quelque temps, vous empêchera de vivre le présent à fond. La vie à deux sera plus sereine mais très routinière.

Travail-Argent : Vous ferez preuve d'une trop grande rigueur, ce qui vous rendra pénible et intransigeant notamment avec vos collègues. Vous manquerez de souplesse dans le travail d'équipe et l'ambiance risque de se dégrader. Faites un petit effort pour vous montrer plus compréhensif.

Santé : Une certaine fatigue musculaire se fera sentir, vous pourriez souffrir de courbatures ou de crampes. Si vous faites du sport pensez à bien vous échauffer avant l'effort et à vous étirer ensuite. Ne repoussez pas vos limites.

17 december
Illustrations de Jo Ratcliffe
  • Sarah Knafo : “Même lui il…” , en plein débat avec Gilles Verdez, elle envoie une balle perdue à une députée

    Ce mercredi 11 décembre, Sarah Knafo était reçue sur le plateau de Touche pas à mon poste. Sans surprise, cette dernière a eu quelques différends avec Gilles Verdez, mais c’est pourtant une personne extérieure au débat qui en a pris pour son grade.

  • "Perte de temps totale", "Vide de sens" : Ce film de super-héros n'est pas encore sorti au cinéma, mais il se fait déjà détruire par la presse

    L'esprit de Noël n'a visiblement pas touché la presse. A quelques jours de sa sortie en salle, le nouveau film de super-héros...

  • Au procès des viols de Mazan, des avocats veulent l'acquittement pour absence "d'intentionnalité"

    "Ils ne savaient pas" qu'ils commettaient un viol sur Gisèle Pelicot car ils "étaient manipulés" par son mari Dominique: plusieurs avocats ont à nouveau égrené jeudi cette ligne de défense pour dédouaner leurs clients au procès des viols de Mazan.Ces trois avocats, qui défendent huit des 51 hommes poursuivis pour la plupart pour viols aggravés sur Gisèle Pelicot, préalablement sédatée par son désormais ex-époux, dans leur domicile conjugal de Mazan (Vaucluse), ont tous terminé leur plaidoirie en réclamant l'acquittement de leurs clients. Le ministère public avait à l'inverse début décembre requis entre 12 et 14 ans de réclusion criminelle contre ces huit accusés, martelant "qu'on ne peut plus en 2024 dire: +Puisqu'elle n'a rien dit, elle était d'accord+, c'est d'un autre âge"."Le vrai seul débat à mes yeux est celui de l'intention coupable", a expliqué devant la cour criminelle de Vaucluse Me Guillaume De Palma, estimant que ses clients "ne savaient pas, ne pouvaient pas savoir, n'ont rien compris".Et d'enjoindre à la cour à ne pas rendre son verdict, prévu le 19 ou 20 décembre, uniquement sur la base des vidéos, au risque sinon d'avoir "une justice d'apparence, photosensible"."Pourquoi on n’a pas dans les échanges : +Tu vas aller violer, une femme droguée, avec ton uniforme+? Pourquoi on n’a pas ça? Parce que ça n’existe pas!", a-t-il dit en parlant de Christian L., 56 ans, un ex-pompier qui s'est rendu en pleine journée, une fois, en février 2019 au domicile des Pelicot en tenue professionnelle pour y agresser sexuellement Gisèle.Christian L. "n’était pas du tout d’accord pour avoir une relation sexuelle avec une femme endormie, droguée. Ce n'était pas le projet de Christian L", assure-t-il.- "Minotaure" -Avançant sur une ligne de crête, Me De Palma évoque un soi-disant mouvement de la main qui aurait pu faire croire à son client que Gisèle Pelicot était consciente."Il effectue une caresse. Ce n’est pas un geste de violeur, pardon de le dire", poursuit-il.Sur le banc des parties civiles, Gisèle Pelicot souffle d'exaspération et lève les yeux au ciel.L'avocat, très critiqué au début de ce procès, y compris par certains de ses confrères, pour avoir affirmé qu'"il y a viol et viol", estime que "le consentement" de son client a été "vicié" par les manipulations du mari Pelicot.Tous les accusés, selon lui, "n’ont pas pu s’extirper de ce schéma criminel. Ils ignoraient, comme Gisèle Pelicot, sa fille, ses fils, son gendre, ses belles-filles" que Dominique Pelicot "était un prédateur sexuel", poursuit-il.Sa consoeur Isabelle Crépin-Dehaene a elle usé de la métaphore filée autour du Minotaure que serait Dominique Pelicot, cette figure de la mythologie grecque "mi-homme mi-taureau, symbole de l’homme dévoré par ses pulsions", ici "perdu dans le labyrinthe des murs de la maison de Mazan avec ses 50 proies".Ses clients, Redouan E. et Ahmed T. contre qui le ministère public a requis 12 ans de prison, auraient été "emportés par la folie d’un homme qui les a instrumentalisés", tombés dans "le scénario sexuel, celui de la belle endormie" qu'était, à leurs yeux, Gisèle Pelicot, soutient l'avocate."Pensez-vous un seul instant qu’un homme, aussi demeuré soit-il, aurait accepté, à la demande : +Bonjour, je cherche un homme pour violer ma femme droguée chimiquement+?", a-t-elle lancé.Selon elle, tout comme sa consoeur Alexia Berard, qui défend Mahdi D. et Adrien L. (12 et 13 ans de prison requis par l'accusation), ses clients ont simplement cru à un "scénario libertin", pratique dont ils étaient friands."Ces hommes sont entrés chez le minotaure pour avoir un rapport sexuel consenti. Ces hommes ont été utilisés", selon Mme Crépin-Dehaene.Pour Me Berard, le "bénéfice du doute" devrait conduire la cour à acquitter ces accusés car "la justice protège tout le monde de l’arbitraire, de la sauvagerie et des emportements de tout le monde".dac/iw/tes

  • JO Paris 2024 : Quelle répartition pour les 27 millions d’euros d’excédent dégagés par le Cojo ?

    budget - Le président du département de Seine-Saint-Denis, Stéphane Troussel, émet le souhait que 80 % de cette somme aille aux collectivités hôtes

  • “Les droits humains, pas pour les rats” : les propos d’un ministre heurtent au Pérou

    Lors d’un débat sur la peine de mort, Morgan Quero, ministre de l’Éducation péruvien, a provoqué un tollé en répondant à une question d’une journaliste du quotidien national “La República” au sujet des 50 victimes de la répression des manifestations postélectorales de 2022 et 2023.

  • Donald Trump personnalité de l’année pour le « Time » pour la deuxième fois

    Récompense - Comme Obama, Bush, Nixon mais aussi par exemple le leader chinois Deng Xiaoping, Donald Trump entre le cercle fermé des hommes nommés par deux fois personnalité de l’année par le « Time » magazine

  • Des rassemblements clairsemés "pour l'emploi et l'industrie" en France

    Des rassemblements et manifestations clairsemés "pour l'emploi et l'industrie" se sont tenus jeudi dans plusieurs villes en France, avant la nomination d'un nouveau Premier ministre sommé de répondre à "l'urgence sociale" par la CGT, dans un contexte marqué par l'explosion des plans sociaux.Le cortège parisien n'a pas attiré les foules des grands jours avec quelque milliers de personnes réunies, selon une journaliste de l'AFP.Pas de quoi entamer la détermination de Valérie Lefebvre-Haussmann, salariée d'une banque  et responsable syndicale, venue "en solidarité avec les salariés de l’industrie" menacés de licenciement, "mais aussi parce que même dans nos secteurs (banques et assurances, NDLR) nous ne sommes pas épargnés". "Au nom de la rentabilité, on ferme des agences, on remercie des employés (…) et nos salaires stagnent", s'agace-t-elle.Non loin, Nicolas, 37 ans, qui souhaite conserver l'anonymat, revendique lui "le droit au travail face aux licenciements de plus en plus massifs". Les rassemblements, lancés par la CGT, rejointe par Solidaires et FSU, ont été initiés alors que les annonces de plans sociaux se succèdent dans les grandes entreprises (Auchan, Michelin, Vencorex, PPG...), chez des sous-traitants ou petites structures, visant de nombreux secteurs (métallurgie, commerce, secteur public et associatif, banques et assurances, chimie...) un peu partout sur le territoire français.La CGT avait dénombré le 27 novembre 286 plans sociaux. Elle en recense désormais 300, tout en reprenant les données du cabinet Altares qui comptabilise 300.000 emplois menacés ou supprimés."Des urgences sociales, il y en a partout dans le pays", a déploré Sophie Binet, venue aux côtés des salariés des Fonderies de Bretagne à Lorient (Morbihan) où "400 emplois sont en jeu".La leader, qui dénonce une nouvelle fois "cette saignée industrielle", a imploré la nomination d'"un Premier ministre qui réponde aux urgences sociales", alors que le nom d'un nouveau locataire à Matignon se fait attendre. - "Compliqué de se mobiliser" - Outre les 132 mobilisations qu'elle a initiées dans près de 80 départements, la centrale de Montreuil a encouragé, dès fin novembre, "les salariés à se mettre en grève et occuper leurs usines pour empêcher les licenciements".Mais l'appel semble peu entendu par les salariés. "C'est compliqué de se mobiliser lorsqu'on sait qu'on n'a pas d'interlocuteurs en face", juge une source syndicale, sous couvert d'anonymat.Pour Anthony Bruno, cheminot de 23 ans présent dans le cortège lyonnais, "même si les taux de grévistes varient selon les entreprises, (il faut) montrer que c'est tous ensemble qu'il faudra qu'on riposte" . "On est tous attaqués, qu'on soit du public ou du privé", plaide-t-il, mais là encore, ils ne sont qu'environ 200 personnes à être venues, a constaté l'AFP.Plus tôt, à Nantes, 1.400 personnes, selon la préfecture, ont bravé un froid sec et mordant comme Danielle Stervinou, ancienne vendeuse et retraitée de 73 ans, pour défendre, entre autres, une revalorisation des petites retraites: "Je touche 759 euros par mois et avec l’inflation et les augmentations de toutes parts, j’ai l’impression que ma retraite ne cesse de régresser".Contrairement à la grève lancée par l'ensemble des organisations syndicales la semaine dernière dans la fonction publique, cette fois l'intersyndicale n'a pas pris position, divisée sur les stratégies à adopter, fragilisant un peu plus l'ampleur de la mobilisation. Seuls Solidaires et la FSU ont ainsi rejoint le mouvement.Force ouvrière a de son côté apporté son soutien à "toutes les initiatives et mobilisations déjà décidées" par ses troupes localement.Côté rail, le trafic est "normal" pour tous les TGV, mais de légères perturbations touchent les trains régionaux "avec en moyenne nationale huit trains sur dix". En Ile-de-France, les lignes les plus perturbées sont le RER D (un train sur trois en moyenne) et la ligne R du Transilien (un train sur cinq). Dans la branche électrique et gazière, la grève est reconduite chez GRT Gaz dont les salariés s'étaient déjà fortement mobilisés il y a une semaine.bat-chl-cor/boc/grd/djb

  • Avec le barème de l’impôt, la loi spéciale censée être technique est devenue politique

    Ce 12 décembre, le projet de loi spéciale commence son parcours au Parlement. L’adoption du texte est souhaitée par tous, mais l’enjeu politique n’est pas nul pour autant.

  • Renouer avec son ex : les bonnes questions à se poser

    Renouer avec un ex constitue-t-il une bonne ou une mauvaise idée ? Thérapeute de couple, Florence Peltier distingue deux situations : « celle où l’on est à nouveau en couple et l’on cherche à renouer avec une liaison passée, de celle où l’on envisage de revenir en couple avec son ex ». Dans le premier […]

  • Disparition de Morgane : le jeune homme de 21 ans mis en examen pour enlèvement et séquestration

    Le jeune homme chez qui Morgane a été retrouvée mardi a été mis en examen ce jeudi pour enlèvement et séquestration sur mineur de moins de 15 ans. Désormais, le juge des libertés et la détention doit statuer sur son placement en détention provisoire.

  • DIY : 3 idées de boules de Noël incassables à faire avec vos enfants

    Et si vous profitiez de la période de fêtes de fin d’année pour proposer une activité alliant loisirs créatifs et décoration à vos enfants ? On vous donne trois idées de boules de Noël à fabriquer avec eux ( et qui, cerise sur le gâteau, seront 100% incassables).

  • La BCE poursuit ses baisses de taux face aux "incertitudes" économiques

    La Banque centrale européenne a de nouveau baissé ses taux directeurs jeudi, préoccupée autant par l'affaiblissement de la croissance en zone euro que par les incertitudes politiques dans les deux plus grandes économies européennes et aux Etats-Unis.En attendant un successeur au poste de Premier ministre après la chute du gouvernement Barnier, la deuxième économie de la zone euro est pour le moment sans budget pour 2025, avec un déficit public dérapant cette année à 6,2% du PIB. Alors que la Ban

  • "Je suis nutritionniste et voici l'aliment qui a révolutionné mon cholestérol au petit-déjeuner"

    Un nutritionniste espagnol a révélé qu'un aliment de base du petit-déjeuner, connu pour ses bienfaits pour lutter contre les maladies cardiaques, l'avait aidé à réguler son cholestérol.

  • Aaron Taylor-Johnson : qui est son épouse Sam Taylor-Johnson ?

    Depuis plus de dix ans, Aaron Taylor-Johnson partage la vie de la réalisatrice Sam Taylor-Johnson.

  • Le Toyota Urban Cruiser ressemble au Vitara de Suzuki ? Oui, ils sont presque jumeaux !

    Auto - Après avoir « offert » certains de ses modèles à Suzuki pour lui permettre d’élargir sa gamme, Toyota profite du renvoi d’ascenseur pour proposer ce nouveau crossover électrique

  • Wall Street ouvre en baisse, digère l'inflation côté producteurs

    La Bourse de New York a ouvert en baisse jeudi, digérant un indice de l'inflation côté producteurs en hausse aux Etats-Unis, ainsi que le recul de certains grands noms du secteur technologique.Côté consommateurs aussi, l'inflation est repartie à la hausse en novembre, pour le deuxième mois d'affilée.

  • Les salariés du jeu vidéo en grève contre les licenciements

    Plusieurs dizaines de salariés de studios de jeux vidéo se sont réunis jeudi à Paris devant les locaux de Don't Nod pour demander l'arrêt des licenciements, ont constaté des journalistes de l'AFP. "On est inquiets, en colère et prêts à se battre", a affirmé Gaëlle, programmeuse de 28 ans, employée dans ce studio français qui traverse une mauvaise passe."On se sent de plus en plus sur un siège éjectable", a-t-il ajouté, "ce qui se passe chez Don't Nod pourrait arriver chez nous demain".

  • L'Australie veut obliger les Gafam à payer les médias pour la publication de contenus journalistiques

    C'est l'une des conséquences de l'explosion du numérique et des réseaux sociaux : les revenus publicitaires des médias traditionnels se sont effondrés depuis les années 2000. Des revenus accaparés principalement par les géants du numérique, les Gafam. À l'image du Canada et de l'Union européenne, le gouvernement australien veut imposer à Google, Meta ou encore TikTok de payer les médias pour les articles, reportages et vidéos journalistiques relayées sur les plateformes. Ce n'est pas la première

  • « Je n’ai pas été battu » : porté disparu depuis 7 mois, un Américain découvert en Syrie après avoir été libéré par les rebelles

    Sa trace avait été perdue le 28 mai dernier à Budapest. Travis Tinmerman a été retrouvé errant pieds nus dans un quartier proche de Damas après avoir été libéré de prison ce lundi. Il avait été arrêté par les forces du régime il y a plusieurs mois.

  • Aveyron : Deux cambriolages à déplorer dans cette commune, un jour avant l’arrivée de la vidéosurveillance

    trop tard - Les voleurs n’ont emporté qu’un maigre butin, mais ils ont eu de la chance d’agir la veille de l’installation de la caméra sur le rond-point de Rodez