Pourquoi la sexualité n'est pas finie après le début de la ménopause

La sexualité ne s'arrête pas à la ménopause, loin de là.

Alors que 400 000 Françaises entrent en ménopause chaque année, il existe de nombreuses solutions pour parer aux troubles sexuels que peuvent entraîner certains symptômes. Article écrit dans le cadre d'un partenariat avec Gapianne.

Chaque année, près de 400 000 femmes en France entrent dans la période de ménopause et, selon la dernière grande étude de l’Inserm commandée par l’État et publiée en novembre dernier, environ 40 % des femmes ménopausées témoignent d’un ou de plusieurs problèmes liés à leur sexualité. C’est à l’inverse une majorité de femmes qui ne constatent pas d’effet physique ou physiologique. Certaines ne remarquent aucun changement dans leur sexualité ; d’autres entament même une seconde vie sexuelle, libérées des contraintes de la contraception et des menstruations.

Car la ménopause ne signifie pas la fin de la sexualité. Certes, des symptômes, à l’instar d’une baisse de la libido ou de la sécheresse vaginale, imposent un changement dans les rapports. Mais la ménopause n’est pas la seule responsable de ces changements et des solutions existent pour les dépasser. Et un professionnel de santé (gynécologue, sexologue, sage-femme, médecin) saura vous conseiller en la matière.

Des symptômes et des solutions

La ménopause entraîne des désagréments tels des bouffées de chaleur, du stress ou de l’irritabilité qui peuvent impacter la sexualité. Mais certains symptômes entraînent directement des troubles sexuels.

À commencer par la sécheresse vaginale. La lubrification du vagin est moins abondante et plus lente à cause de la baisse du taux d’œstrogènes. L’utilisation d’un lubrifiant intime est conseillée.

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