Comment savoir si vous êtes accro aux aliments ultra-transformés

Qu’ils soient salés ou sucrés, les aliments ultra-transformés ont la particularité d’être souvent appétissant. C’est pourquoi il est difficile de ne pas terminer un paquet de chips ouvert, ou de se limiter lorsqu’on a accès à des sucreries. D’après les données de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), les aliments ultra-transformés constituent désormais en moyenne près d’un tiers de nos apports caloriques journaliers. Et pour cause, la préparation de ces aliments nécessite l’utilisation de plusieurs procédés de transformation et d’additifs qui modifient leur texture, leur saveur et leur durée de conservation. Le résultat final est un produit de faible qualité nutritionnelle, savoureux, et dangereux sur le long terme. Plusieurs travaux ont établi un lien entre leur consommation et les maladies métaboliques, les cancers et les symptômes dépressifs, rappelle l’Inserm. Récemment, le docteur Chris van Tulleken, auteur du livre Ultra-Processed People, a expliqué qu'entre 10 et 20 % des personnes qui consomment des UPF en sont dépendantes - un taux de dépendance similaire pour la cocaïne, l'alcool et le tabac. Mais comment savoir si on est vraiment accro ? Voici quelques indices.

Vous savez qu’ils sont mauvais, mais vous ne pouvez pas arrêter

« Si vous savez que quelque chose vous nuit d’une manière ou d’une autre, et que vous continuez à le faire malgré vos tentatives d’arrêt, que ce soit (...)

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