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Adolescentes avec vue sur le coucher du soleil sur une soirée d'été

Alors que de plus en plus de personnes de tous âges déclarent se sentir seules, une étude récente suggère un lien intrigant entre nos niveaux d’interaction sociale et notre santé.

Les êtres humains sont fondamentalement sociaux. Nous nous épanouissons grâce aux liens, à la communication et aux expériences partagées, qui contribuent à favoriser un sentiment d’appartenance. Pourtant, dans un monde de plus en plus numérique, ce sentiment est devenu extrêmement courant. Et ce d’autant plus depuis la pandémie et ses mesures restrictives de confinement. Pour rappel, la « solitude » est définie par le dictionnaire Larousse comme « un état de quelqu'un qui est seul momentanément ou habituellement » mais aussi comme un « état de quelqu'un qui est psychologiquement seul (solitude morale) » ou encore le « caractère d'un lieu où l'on se sent seul, isolé ». Bien que l’on fasse souvent référence à la solitude et à l’isolement social de manière interchangeable, il s’agit de concepts différents. L’isolement social désigne la séparation physique d’une personne par rapport aux autres, tandis que la solitude est la perception d’être seul. On peut se sentir seul même lorsqu’on est entouré de beaucoup de gens. De même, on peut vivre seul sans se sentir isolé, à condition d’avoir un solide réseau social.

Or, il est prouvé que la solitude détériore la santé et favorise la perte d’autonomie. Une étude a révélé que le fait d’être isolé socialement était associé à une augmentation de 60 à 70% du risque de décès sur une période de sept ans. Certains chercheurs ont même suggéré que...

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