Enora Malagré - "C'est le pire poison", "Je me suis aussi désintoxiquée", "Courage, c'est une drogue" : les internautes impressionnés par le changement de la chroniqueuse

Aujourd'hui, nous consommons en moyenne 35kg de sucre par an, soit 20 carrés de sucre par jour, contre 2kg seulement au 17ème siècle. Alors arrêter le sucre, vous y avez déjà pensé vous ? Parce qu'en ce moment, beaucoup s'y mettent et les résultats sur le corps sont à couper le souffle. Enora Malagré en fait partie, après avoir développé une véritable addiction au sucre ces dernières années. Depuis ce mercredi 11 décembre, son témoignage est à découvrir dans le documentaire "Demain, j'arrête", disponible sur Canal+ Docs.

"Je mangeais une quantité industrielle de bonbons", confie-t-elle dans les colonnes de Femme Actuelle. Elle rajoute du sucre dans son lait au chocolat, elle dévore des gâteaux à toutes heures, ... "Tout ce qui était réconfortant". Aujourd'hui, ses placards sont libérés de ces aliments bourrés de "mauvais sucres", et les changements sur son corps et son esprit sont bien présents.

"J'ai perdu 7 kilos en très peu de temps."

Dans un premier temps, Enora Malagré banni le sucre du jour au lendemain. Elle s'étonne d'éprouver des "crises de manque". La chroniqueuse décide alors de diminuer sa consommation de sucre progressivement. "La première chose que j'ai arrêtée et bannie c'est : les boissons sucrées, les sodas et les bonbons", souligne Enora Malagré à Femme Actuelle. Les effets radicaux ? La perte de poids, tout d'abord. "J'ai perdu 7 kilos en très peu de temps." Et l'humeur, ensuite. "J'ai l'impression d'être d'humeur beaucoup plus égale", confie la chroniqueuse. Mais ce n'est pas tout. Depuis l'arrêt du sucre dans sa vie, elle remarque également qu'elle dort bien mieux, qu'elle transpire moins, qu'elle n'a plus de suées nocturnes, qu'elle a moins de douleurs lors de ses crises d'endométriose et bien plus encore.

"Je me suis aussi désintoxiquée du sucre et j'ai beaucoup moins de douleurs inflammatoires. J'aimais bien aussi manger des bonbons, et je m'autorise à en manger un de temps en temps mais ça reste occasionnel", confie une internaute en commentaire sur Instagram. "C'est vrai que moi aussi j'exagère avec le sucre... Mais c'est dur de faire sans", lance une autre. "Courage, c'est le bon chemin ..Le sucre une drogue" avertit un autre utilisateur. Il est vrai que lorsque l'on en a abusé durant des années, le sucre devient une véritable drogue. "Je mangeais jusqu'à 5 paquets de bonbons et 3 tablettes de chocolat par jour. Je suis aidée par une diététicienne et je ne mets même plus de sucre dans le thé mais je suis souvent en manque." Sur les réseaux sociaux, des témoignages comme celui-là, il en existe des tonnes. Certains se lancent même le challenge "1 mois sans sucre". Et là encore, les résultats sont surprenants. "

Le sucre c'est le pire poison", assure une jeune femme sur Tiktok. En quantité trop excessive dans le corps, il peut être à l'origine de nombreux maux physiques et psychologiques : problèmes dermatologiques, troubles digestifs, risques de caries, risque de diabète, maladies cardiovasculaires, fatigue, frustration, anxiété, dépression, ... Bref, la liste est longue.

Comment remplacer le sucre sans se priver de petites douceurs ?

Mais alors par quoi remplacer ces moments réconfortants ? "Moi quand j'ai des montées d'envie de sucre, j'écoute de la musique, ou je sors", explique Enora Malagré. Et ça marche ! Mais attention : "Je n'arrête pas non plus totalement. Pendant les fêtes par exemple, je vais m'autoriser un morceau de bûche. Quand même, il ne faut pas déconner !"

En effet, il n'est pas question de supprimer totalement le sucre de son alimentation. Mais plutôt de gérer sa consommation. On évite donc les bonbons, les gâteaux industriels, le pain de mie et tous les aliments ultra-transformés. On réduit la dose de sucre dans son thé et on le supprime totalement de son chocolat chaud. En parallèle, on vient inclure dans son alimentation des sucres naturels, qui vont être moins addictifs. Comme les fruits, par exemple.

Pour se faire aider, il est tout à fait possible - et judicieux - de faire appel à un professionnel tel qu'un diététicien, un hypnotiseur ou un acuponcteur.